Deacon :
Je regarde Kristelle allongé dans le lit de l'infirmière avec une perfusion relier au bras. Je me tourne vers le gardien qui l'accompagne.
" Deacon_ Je vous avez demander de la surveiller. Comment ça se fait qu'elle soit dans cette état ?
Gardien_ Monsieur, il est impossible d'attribuer un traitement de faveur à une prisonnière comme ça tout d'un coup.
Deacon_ C'est mieux que de la trouver dans..."
Je me fais interrompre par mon téléphone qui sonne. C'est n'est pas vrai. Je me retrouve avec un gardien incapable, je sors mon téléphone et raccroche rapidement avant de le ranger mais à peine dans ma poche qu'il se remet à sonner. Je regarde sur l'écran qui m'appel et voit le numéro de ma mère s'afficher. Pourquoi elle m'appel ?
" Deacon_ Je repasserai demain et veiller à ce que mange. Sérieusement, je ne veux pas qu'elle aille voir la juge demain dans cet état.
Gardien_ Je veillerais.
Deacon_ Je vous ai payé faites ce pourquoi je vous paie."
Je pose les yeux une dernière fois sur Kristelle allongée sur le lit en dormi avant de sortir de l'infirmerie. Je sors mon téléphone et décrocher à l'appel de ma mère qui insiste à nouveau.
" Deacon_ Mère ?
Mère_ Tu es impolie de répondre au cinquième appelle.
Deacon_ Vous voulez quelque chose Mère ?
Mère_ Passe à la maison.
Deacon_ Pourquoi ?
Mère_ Ne pose pas de questions et ramène toi."
Elle raccroche sans me laisser répliqué. Pourquoi elle veut tellement que j'aille à la maison ? Je n'aime pas cette endroit. Je sors de la prison et me dirige vers la voiture. Mon chauffeur ouvre la portière à l'arrière, je grimpe à l'intérieur, il ferme la porte avant de montée à sa place. Son regard se pose sur moi à travers le rétroviseurs.
" Deacon_ Amène moi chez les parents.
Chauffeur_ Oui, Monsieur.
Deacon_ Réveille moi lorsque nous sommes arrivés
Chauffeur_ Oui, Monsieur."
Je croise mes bras et ferme les yeux. Afin d'essayer de trouver le sommeil qui vient très peu c'est temps. Le vent qui passe à travers la vitre me souffle au visage. Je me retrouve soudain dans cette salle dans le noir, la porte commence à se secouer et des cries se font entendre de l'autre côté. Je me lève puis me rapproche lentement de la porte. Je tends ma main ouvre lentement la porte quand on se jette sur moi. Je sens une main se poser sur mon épaule. Je sursaute et ouvre les yeux, mon chauffeur se trouve à côté de moi.
" Chauffeur_ Vous allez bien Monsieur ? Nous sommes arrivés."
Je regarde la maison de mes parents devant moi.
"Chauffer_ Vous avez encore fait du bruit pendant que vous dormez."
Encore ce cauchemars, il revient encore chaque année. Je ne sais pas si c'est mon passé ou un simple rêve inutile.
" Chauffeur_ Vous...
Deacon_ Faites comme si que rien de tout ça ne s'est passé.
Chauffeur_ Comme vous voulez Monsieur."
Il s'écarte me laissant libre espace pour que je puisse descendre de la voiture. Je monte les escaliers de la maison jusqu'à la porte d'entrée que j'ouvre et entre. Des bavardage me conduis dans le salon ou se trouve ma mère et en face d'elle Julie Thomas la fille de la famille Thomas et aussi ma Fiancée. Elles discutent et rigolent ensemble. Elles semblent vouloir se raconter beaucoup de chose. Ma mère fini par voir ma présence, elle se lève le sourire jusqu'au oreille puis s'approche de moi.
" Deacon_ Qu'est-ce que c'est que ça ?
Mère_ Ta Fiancée est venu te rendre visite. Nous allons bientôt annoncer vos fiançailles et devine quoi ?
Deacon_ Quoi ?
Mère_ Vous savez très peu de chose l'un comme l'autre."
C'est pour ça que je n'ai que très peu de temps pour faire sortir Kristelle de prison. Je le veux pas être présente comme Fiancé de cette femme. Je n'ai rien contre elle mais je ne veux pas d'elle comme Fiancée ni maintenant ni jamais. Ma mère m'attrappe le bras pour m'inciter à aller m'assoir sur le canapé à sa place en face de Julie qui m'adresse un sourire. Elle vient se mettre à côté de moi et sourit elle aussi de toute ces dents.
" Julie_ Je suis désolé d'être venu à l'improviste...Je voulais rencontrer ma future belle maman."
Ma mère commence à rigoler d'une façon gênante et un peu humiliante pour moi.
" Julie_ Comment allez-vous ?
Deacon_ Mieux que hier.
Julie_ Vous êtes bien rentrés l'autre soir ?
Deacon_ Mon chauffeur conduit bien."
Un silence s'installe dans la pièce exactement comme au dîner que j'ai eu avec elle. Elle doit être stupide pour ne pas comprendre entre les lignes. "Je ne veux pas t'avoir comme Fiancée" j'aimerai lui sortir ça.
" Mère_ Julie me disait qu'elle avait un vernissage la semaine prochaine. Toi qui aime l'art tu devrais aller faire un tour."
Je jette un regard sur ma mère qui sourit fière de son coup.
" Julie_ Vous aimez l'art Deacon ?
Deacon_ Je ne dirais pas que je l'aime mais c'est un loisir.
Julie_ Vous peignez ?
Mère_ Il adore ça. Tout comme sculpter, il a douer de ses mains. Il doit tenir ça ne moi."
Quand elle prononce c'est mot j'ai envie de dire que ce sont des ânerie. Je ne suis même pas son vrai fils. Comment je peux tenir ça d'elle. Julie sort deux billets sur la table qu'elle glisse dans ma direction.
" Julie_ Venez à mon vernissage. Si vous voulez vous pouvez amener un ami ou votre charmante mère.
Mère_ Et si vous alliez ensemble ? Après tout c'est après l'annonce de vos fiançailles !
Julie_ Bonne idée Belle- Maman. Je peux vous appelez belle-Maman ?
Mère_ Bien sûre."
Je n'en place pas une. Ma mère veut absolument me mettre en avant devant la fille Thomas. Je suis vraiment qu'elle simple marchandise dans cette famille mais elle est la seule qui m'est vraiment traiter comme son fils donc je lui doit beaucoup.
" Julie_ Vous ne pensez pas Deacon ?"
Je n'ai pas entendu ce à quoi rapportait la conversation.
" Deacon_ Pardon ?
Julie_ Je disais que l'été était la meilleur saison. Vous ne pensez pas ?
Deacon_ Non. Je préfère l'automne.
Julie_ Oh. Pourquoi ?
Deacon_ Je n'aime pas la chaleur.
Julie_ Je...Et vous aimer l'opéra.
Deacon_ Non, c'est ennuyeux.
Julie_ Oh...Euh...Je vois."
Ma mère me donne un coup de coude me poussant à apaiser l'air pesante.
" Deacon_ Je préfère le cinéma.
Julie_ Vraiment...Et si on y allait ?
Deacon_ Chez moi. J'ai un grand écran. Je ne supporte pas la foule.
Julie_ Je vois...
Mère_ Je vais vous laisser discuter. Vous ne semblez pas libre de parler en ma présence donc."
Elle me dit signe d'être gentil avec Julie avant de sortir du salon. Je m'adosse au canapé.
" Julie_ Vous avez hâte de nos fiançailles ?
Deacon_ Pas..."
Je repense à ce que ma mère m'a demandé de faire. Je commence à faire mon sourire professionnel que je fais pendant mes réunions.
"Deacon_ Évidement.
Julie_ J'avais peur que vous ne m'appréciez pas. Vous avez dîner et vous êtes parti juste après avant même que cela ne se finisse.
Deacon_ J'avais des choses qui concerne le travail à faire.
Julie_ Mais nous étions entrain de dîner.
Deacon_ Oui mais je préfère le travail au mariage sans vous offensez.
Je. ne. sais. Pas rester sympathique plus de dix minutes. Je la vois se lever de son siège, je fais de même. Elle se rapproche de moi.
" Julie_ Et si on dînait à nouveau ?
Deacon_ Pardon ?
Julie_ Faisons plus connaissance avant aujourd'hui je ne savais même pas que vous aimez l'art. Je veux plus apprendre à connaître l'homme que je vais épouser."
Et moi j'ai envie de sortir de cette pièce et de ne plus jamais te revoir mais ça ne peut pas se faire. Ça aurait été le plus beau cadeau pour mes trente deux ans. Je la vois tordre la lance de son sac comme si elle voulais me dire quelque chose mais ne savait pas comme en parler.
" Julie_ Je peux vous poser une question ?
Diego_ Je vous écoute ?"
Elle s'approche de moi.
" Julie_ Vous n'êtes pas déçu de me voir comme..."
Mon téléphone se met à sonner la coupe dans se qu'elle voulait dire. Je ne la laisse même pas le temps de finir de parler que je décroche avant de m'excuser et sors à l'exterieur pour coller mon téléphone à mon oreille.
" Dieacon_ Je vous écoute ?
Rodolphe_ Monsieur, concernant le tribunal pour Mademoiselle Goodwing approche et je trouve que se sera difficile de convaincre la juge. Je ne sais pas comment...
Deacon_ Vous vouliez plus de d'argent je vous l'ai donner sans hésiter. Vous avez dit que le juge n'ouvrirait pas le dossier comme ça. J'ai fais en sorte qu'il le fasse. Vous avez parlé d'une preuve je vous l'ai fabriquer. Que vous faut-il de plus ?
Rodolphe_ Eh bien...
Deacon_ Je ne vais pas perdre mon temps. Ou vous trouvez une façon de libérer Kristelle ou nous pouvons mettre fin à notre contrat et notre petit secret. Le tribunal est demain surprenez moi ou c'est moi qui risquerai de vous surprendre."
Je raccroche puis soupire. Je devrais peut-être changer d'avocat. Celui-ci manque de compétence et à genoux rythme la soirée des fiançailles seras déjà passé et je serais fiancé. Comme d'habitude je dois trouver un plan B.