J’ai soupiré doucement, je sentais ma respiration trembler
Maria : Camille, ma chérie, reviens, tu n’as pas mangé et ce n’est pas bon pour toi. Si tu veux. je vais mettre les deux idiots à la porte pour ce soir pour passer une soirée juste nous deux, qu’en penses-tu?
Je suis descendu de l’arbre et je l’ai regardé au travers de mes yeux emplis de larmes. Elle ouvrit les bras et je mis suis réfugié.
Maria : Là mon cœur, maman est là. Ton père va devoir dormir sur le divan pour quelque temps afin que je lui pardonne ce que lui et ton frère, on dit. Ton frère est aussi en punition, il est de corvée de vaisselle pour trente jours et non, les jours qu’il passe hors meute ne compte pas donc c’est trente jours dans ma maison.
Je ris dans l’étreinte de ma mère à la mention des punitions qu’elle
