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Le diable ne peut pas avoir un coeur

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Perla ayant perdu sa mère dès son plus jeune âge vivant avec son père, elle ne pensait pas qu'un jour lors de ses vingt-et-un ans il lui demanderait d'épouser un homme dont elle le connaissait pas l'existence avant, elle va finir par accepter et vivre avec cette homme autant séduisant que destructeur.

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1.
Perla Mon regard était levé sur le ciel observant la lune, une lune très voyant et brillante ce soir. C'est rare d'en voir une aussi lumineuse et grosse là où j'habite, en général elle est très éloignée. Je ferme les yeux profitant du calme qui avait dans mon balcon, je me retrouve ici à cette heure précise tout les soirs à regarder le ciel perdu dans mes pensée. Entendant la porte s'ouvrir derrière moi, un petit soupir peu audible s'échappe de mes lèvres. Mon père se met près de moi, et admire la lune pendant un instant avant que son regard se baisse sur le mien, un grand sourire apparaît sur ses lèvres. -Papa : Tu crois qu'elle nous voit ? -Moi : Beaucoup de personne pensent ça mais pour moi non elle nous voit pas, mais si elle nous verrait je sais qu'elle serait fier de homme que tu est devenu. -Papa : Tu crois ? je hoche la tête, Après tout j'ai pas été un mauvais père non ? -Moi : T'as toujours été parfait avec moi papa, je t'assure. J'ai grandi sans avoir de mère certes mais toi tu as pris ton rôle plus le sien et je suis heureuse à cette heure-ci et ça grâce à toi. Il détourne son regard vers la lune et lâche un grand sourire. Je suis sûre que maman ne voudrait pas le voir souffrir à cause du fait qu'elle ne soit pas là, alors j'essaye en tant que fille de combler son vide même si je sais pertinemment qu'il lui manquera toujours quelque chose dans son cœur. Elle est morte d'une balle dans la tête sous mes yeux par son beau-père, le père de mon père. Gustavo Lutero. Patron de la mafia ayant une haine monstrueuse pour mon père, Leandro Lutero. Mon père a quitté la mafia quelques années après avoir rencontré ma mère, évidemment étant le chef le plus apprécié et connu au Mexique personne n'a compris pourquoi. Depuis son mariage son père a trouvé un moyen pour le faire souffrir à vie et bien évidemment ça a été la mort de ma mère. Après la mafia il est devenu PDG de sa propre entreprise qui marche très bien pour un homme qui est détesté de son pays pour la « trahison » qui l'a faite en quittant la mafia. Après la mort de ma mère nous sommes parti deux ans plus tard pour la France après on est rentré quatre ans plus tard. J'ai été énormément harcelé à cause du passé de mon père, mais - pour une personne qui se faisait énormément harceler - j'ai pas souffert de ça, la seule chose dont j'ai vraiment souffert c'est de voir mon père s'enfermer - la plus part du temps - dans son bureau pour passer des heures à travailler pour essayer de faire passer le temps. -Moi : Tu devras aller dormir non ? Il est et tu travailles dans quelques heures. -Papa : Je préfère rester ici avec toi, j'aime pas te voir plonger dans tes pensées surtout que je ne sais pas vraiment qu'est-ce qu'il peut avoir dans cette jolie tête. Et je lui dirai jamais le fond de ma pensée, je préfère les garder pour moi. -Moi : Tu sais papa je t'abonnerais jamais, j'ai envie de rester avec toi pour toujours. Il me lance un regard puis un sourire triste se dessine sur ses lèvres, je fronce les sourcils d'incompréhension et pose ma main sur son épaule. -Moi : Je..j'ai dit quelque chose de mal papa ? -Papa : Nan, je pensais seulement à quelque chose. Quelque chose qu'il me dirait pas, j'ai beau insister pour avoir des réponses à ses sourires triste depuis déjà une semaine mais il me résiste. J'espère que ça ne concerne pas maman, il à accepter sa mort depuis bien longtemps il n'a plus à être triste maintenant. -Papa : Tu sais que je t'aime de mon cœur, Perla À chaque fois qu'il me dit ça, je peux pas m'empêcher de lui faire un énorme sourire. -Moi : Oui papa, je le sais très bien et moi aussi je t'aime. J'enlève ma main de son épaule et viens me mettre devant lui, j'enroule ensuite mes bras autour de sa taille et pose ma tête sur son torse, son odeur masculine se fait sentir autour de moi comme un aura protectrice. C'est pour ça que j'aime être dans les bras de mon père, juste avec son odeur j'ai l'impression d'être protégée comme il l'a toujours fait. -Papa : J'ai quelque chose à te demander Perla. Je lève ma tête pour pouvoir voir observer son regard. -Moi : Je t'écoute papa. -Papa : Ne m'en veux pas de te demander ça, il pose sa main sur ma joue, je suis désolé bébé. Je commence à m'inquiéter de ce qu'il va me dire, j'ai pas l'impression que c'est quelque chose qui va me blesser mais je pense que c'est quelque chose sui va m'étonner. -Moi : Dis-moi papa. Il prend une grande inspiration en posant ses mains sur mes joues. -Papa : Je t'ai toujours dit que jamais je te demanderais t'épouser un homme. Que tu le connaisse ou pas, que tu l'aime ou pas ou que tu le déteste. Et heureusement. -Papa : Aujourd'hui je te le demande bébé, je fronce les sourcils étonnée, me regarde pas comme ça. Je détourne le regard avant de fermer les yeux. -Papa : Si je te demande ça c'est parce que comme toi il ne veut pas avoir d'enfant, en fin il peut pas. Je le regarde. -Papa : Il est stérile en fait. -Moi : Tu me demandes de me marier avec un homme qui est stérile ? -Papa : C'est ça bébé, tu n'est pas obligé de dire oui si tu le veux pas surtout que tu ne connais même pas cet homme. -Moi : C'est quelqu'un de bien ? -Papa : Oui, autant lui que sa famille. En particulier son père. Je pose ma tête sur son torse. -Moi : Je veux pas te laisser papa, je veux pas qu'on se sépare. -Papa : On sera toujours ensemble bébé, puis tu vas devoir un jour prendre tes aises et faire ta vie. -Moi : Je veux pas. Il rit en me serrant contre lui. -Papa : Prends tout ton temps pour réfléchir ce n'est pas pressé. Je ferme les yeux en ne lui répondant pas. ___ Je marche dans les rues de Mexico le sourire aux lèvres, les personnes savant qui je suis me lance un regard noir faisant grandir mon sourire, qu'est-ce qu'ils peuvent être cons ceux là. Mon père a quitté la mafia depuis plus de vingt ans je comprends pas pourquoi ils osent encore me regarder avec tant de haine. De toute façon je m'en fous complètement, ses sous être rempli de haine m'intéresse pas et malgré leur regard méprisant et les choses horribles qui peuvent dire sur mon père et moi je vis très bien ici. Je leur fais un petit sourire suivi d'un signe de main ce qu'ils leur font rougir de rage, pour ma part un petit rire est sorti de ma bouche. -Moi : Pathétique. C'est vrai que je vis très bien mais j'aurai pu vivre encore mieux si les mexicains étaient pas bourrés de haine contre moi. Ils ont encore une rage folle contre mon père d'avoir quitté la mafia pour prendre une vie normale, pour eux ce n'est pas acceptable. C'est gens là, je les vois comme des fous. Mon père a pris la vie de plus d'une centaine de personnes et ses sous êtres lui demande de continuer ça. On ne me voit pas comme la fille d'un tuteur ruputé au Mexique, mais comme la fille d'un traite. Ça devrai être l'inverse mais bon je les appelle pas « sous être » pour rien du tout. -? : Qui est pathétique ? Je me retourne et croise le regard de mon voisin, Carlos. -Carlos : Ma petite perle a pas l'air d'être dans son assiette aujourd'hui. C'est le seul humain avec sa famille qui nous accepte telle qu'on est avec papa. -Moi : Je suis toujours dans mon assiette. Je me retourne et reprends ma promenade. -Carlos : Laisse moi au moins t'accompagne. -Moi : je hausse les épaules, Fait comme tu veux. Il insistera jusqu'à que j'accepte donc je m'épargne de ce moment. Il marche à côté de moi en regardant l'écran de son téléphone, ses cheveux blonds bouclés retombe sur son front et le regarde bleu intense de son regard est magnifique, on aurait pu dire qu'il n'est pas mexicain mais ce n'est pas le cas il l'est vraiment des deux parents. -Carlos : Tu comptes retourner à la fac ? -Moi : Non. Il me lance un regard avant avant de se concentrer sur son téléphone. -Carlos : Tu devrais pas avoir peur de lui. -Moi : Je n'ai pas peur, je tiens juste à ma vie pour ne pas que mon père fait une crise en découvrant le corps de sa fille noyé. Je me souviendrai de toute ma vie, ce fou qui a essayé de me noyé dans les toilettes de la fac. Je n’ai plus remis les pieds déjà parce que il n’a eu aucune sanction de la part de du proviseur alors que j’aurais pu mourir en plus parce que ce n’est pas la première fois qu’il essaye de prendre ma vie. Je peux très bien aller dans une autre fac sauf que là-bas aussi ça peut m’arriver, en fait je peux mourir de la main de quelqu’un à tout moment si je ne suis pas prudente, -Carlos : J’suis désolée de ce qu’il t’a fait. -Moi : Ce n’est pas parce que c’est ton ami que tu dois t’excuser à sa place. -Carlos : Je sais mais je préfère quand même m’excuser puis de toute façon ce n’est plus mon pote. J’suis pas pote avec les gens qui te veulent du mal. -Moi : T’es pote avec personne alors, tout le monde veut ma vie n’importe où que j’y aille, un jour quelqu’un réussira. -Carlos : Je pense pas, tu te défends très bien. -Moi : Contre une personne oui, trois non. Il souffle et pose sa main sur ma tête. -Carlos : J’te défendrais alors, personne touche à mini Leandro. Je secoue la tête en enlevant sa main, je l’aime de tout mon cœur Carlos, si il avait pas été là les choses aurai été bien différente pour moi. -Moi : J’te remercie mais non, on va te détester alors que tout le monde t’aime. Il hausse les épaules et range son portable. -Carlos : T’es ma cousine l’oublie pas, on s’aide entre famille. C’est vrai que c’est aussi un Lutero, son père est le cousin du mien. Son père n’a jamais été mêlé à la mafia c’est pour ça qu’il vit tranquillement. -Moi : Merci Carlos, d’être là. -Carlos : T’inquiète. Il faut maintenant que je pense à la proposition de mon père, il veut rien le dire sur cet homme comme s’il le préservait. Je peux en savoir plus sur lui que si j’accepte sa proposition, Carlos le sait déjà et il me dit de fonce maie si je me retrouve en face d’un violeur ? Je sais rien de lui de qui m’empêche de dire oui pour regretter après, je veux pas faire le mauvais et je veux savoir qui est cet homme. Pourquoi il voudrait m’épouser alors qu’il ne me connaît pas même pas ? Ou peut-être qu’il le connaît mais je le connais pas en retourne ce qui est compliqué. En tout cas, il faut que je fasse le bon choix pour ne pas regretter derrière. Perla.

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