12. Les aristochats

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➤ Quels sont les chats qui habitent les grands quartiers ? Quels "beaux minets" ont le plus long pedigree ? Quels "chouchous", dans la soie se prélassent ? Naturellement, les Aristocats ! Quels doux "mimis" ont des profils de Joconde ? Quels "chats trésors" savent se tenir dans le grand monde ? Très gourmets, refusant les ersatz ? Mais naturellement, les Aristocats ! Aristocats ils sont toujours Même quand ils font un petit tour Toujours précieux, là où ils vont Ils sont fiers d'leur éducation... Dédaigant les ruelles Ils préfèrent les bars aux poubelles Dont se contentent trop vulgaires Les chats de gouttière... Oh Pouah ! Quels "mi-a-ous" réprouvent les gros mots ? Quels "chats chouchous" s'estiment sans défaut ? Et devant qui les autres chats tirent leur chapeau ? Mais naturellement les Aristocats ! Aristocats ils sont toujours Même quand ils font un petit tour Toujours précieux là où ils vont Ils sont fiers d'leur éducation... Dédaigant les ruelles Ils préfèrent les bars aux poubelles Dont se contentent trop vulgaires Les chats de gouttière... Oh Pouah ! Quels "mi-a-ous" réprouvent les gros mots ? Quels "chats chouchous" s'estiment sans défaut ? Et devant qui les autres chats tirent leur chapeau ? Mais naturellement, mais naturellement Voyons, oh mais naturellement, les Aristocats ! Adélaïde est assis dans une voiture avec Duchesse et les chatons, Edgar tiens les commande en se fessant tirer par Frou-Frou ➢ Marie, ma toute petite. Tu va être bientôt aussi belle et gracieuse que ta maman, est-ce vrai duchesse ? Duchesse miaule et pose sa tête contre la joue de Adélaïde. Toulouse joue avec le chapeau de Edgar ➢ Doucement, Toulouse. Tu complique les choses pour Edgar ➢ Frou-Frou, on est arrivé ma belle Edgar tire sur les rênes de filet, il descend de la voiture, se place du côté passager, prend la main de Adélaïde, elle s'appuie contre et descend de la voiture ➢ Merci, Edgar Frou-Frou hennit, Adélaïde se tourne ➢ Bien sur, Frou-Frou j'allais oublier Adélaïde donne à Frou-Frou une friandise ➢ Madame, puis-je prendre le paquet de madame ? Il me paraît beaucoup trop lourd pour madame ➢ Allons, Edgar ne faite donc pas toute une scène Toulouse et Berlioz joue entre les sabots de Frou-Frou ➢ Berlioz revenez ici. N'auriez-vous pas oublier quelque chose, mon chéri ? ➢ Merci mademoiselle Frou-Frou de m'avoir permis de monter sur ton dos ➢ De rien jeune homme, ce fut un plaisir ➢ Ça va, ça, maman ? ➢ C'est très bien, mon chéri. C'était aimable et distingués ➢ Viens vite Duchesse, chatons, dépêchez-vous. Edgar, j'attend la visite de mon notaire, George Hautecourt, vous vous en souvenez, je suppose ? ➢ Bien sur, madame. Comment pourrais-je l'oublier ? Georges arrive dans sa voiture, il se gare devant la maison. Il chantonne devant la demeure ➤ Tah-Rah-Rah Boombi-Ay Tah-Rah-Rah Boombi-Ay Tah-Rah-Rah Di-Ti-Ti Tah-Le-Ao Tah-Le-Arah Tah-Rah-Rah Boombi-Ay ➢ Je ne suis plus aussi fringant qu'à quatre-vingt ans ➤ Tah-Rah-Rah Boombi-Ay Tah-Rah-Rah Boombi-Ay Il s'approche de la porte, Edgar court en enfilant sa veste et lui ouvre la porte. George entre à l'intérieur ➢ Bonjour, monsieur. Madame attend monsieur ➢ Je suis encore jeune mon brave Edgar ➤ Tah-Rah-Rah Boombi-Ay Il enlève son chapeau avec sa canne et le fait voler dans les airs, il atterris sur la tête de Edgar ➢ Monsieur à encore réussi, monsieur ne rate jamais ➢ Non, mon chère ami. En avant Edgar, le dernier en haut de l'escalier est un vieille ami ➢ Pourrions-nous prendre l'ascenseur cette fois, monsieur ? ➢ Cette cage à oiseau, balivernes, les ascenseurs sont bons pour les vieillards George perd l'équilibre, Edgar le maintien dans son dos ➢ Puis-je au moins aider monsieur ? ➢ Vous serait-il pousser un troisième pied mon brave ? ➢ Ce que monsieur est drôle, monsieur me fait rire à chaque fois Edgar se prend les pied avec la canne de George ➢ Lâchez-donc ma canne, voyons ➢ Attention, monsieur. Je suis absolument navré George maintient sa canne sur les bretelles de Edgar ➢ Pas de panique Edgar, haut les cœur et haut les pieds Il court dans l'escalier et saute sur le dos de Edgar ➢ Vais-je trop vite pour vous, Edgar ? ➢ Oh, monsieur Edgar maintient son équilibre dans les escaliers ----- ----- ----- Adélaïde est dans sa chambre avec les chats entrain de se regarder devant un miroir ➢ Voilà Duchesse, suis-je mieux ainsi ? Nous devons être en beauté pour George, c'est notre plus ancien et notre plus chère soupirant, tu sais Duchesse miaule en regardant Adélaïde. Edgar frappe à la porte ➢ Entrer Edgar ouvre les porte essoufflé, son pantalon se baisse jusqu'à ses pieds. Il remonte en vitesse son pantalon ➢ Madame, monsieur George Hautecourt ➢ Bonté divine, Edgar. Je connais M. Hautecourt George entre dans la chambre. Adélaïde à Duchesse dans ses bras ➢ Adélaïde, ma chère ➢ Je suis si heureuse de vous voir, George Elle lui tend sa main, mais George prend la queue de Duchesse et l'embrasse ➢ Vous avez toujours les plus douces mains de Paris ➢ Et vous, vous êtes un incorrigible flatteur, George Berlioz fait tourner un tourne-disque, de la musique se fait entendre ➢ Adélaïde, cette musique, un air connu, n'est-ce pas ? ➢ C'est exact, c'était mon rôle préféré souvenez-vous ? ➢ Celui justement, le soir de votre grande première que je vous fus présenté ➢ En effet, ce fut ce soir-là ➢ Nous avons fêter votre succès triomphale, champagne et danse toute la nuit Adélaïde et George se mettent à danser, il prend sa main et l'entraîne dans ses pas ➢ George Ils dansent ensemble au son de la musique, Berlioz se laisse tourner sur le tourne-disque puis tombe et la musique ralentit ➢ Grand dieu, il était temps Adélaïde s'assoie sur son canapé ➢ George, nous sommes deux vieux fou aussi sentimentaux que des collégiens George continue de danser et chanter dans la pièce ➢ Allons, George, soyez un peu sérieux. Je vous est prier de venir me voir pour une affaire très importante ➢ Splendide, mais qui allons-nous attaquer ? ➢ Voyons George, il n'est pas question de faire un procès. Je veux seulement faire mon testament ➢ Votre testament George s'assoie devant une table, il sort une paire de lunette de sa poche puis un stylo à plume ➢ Dite-moi, quel en sont les bénéficiaire ? Un tuyau est dans la pièce qui conduit dans la chambre de Edgar qui entend la conversation. Il est entrain de repasser sa veste vêtu de sa chemise, de son veston et de son caleçon ➢ Ainsi que vous le savez, je n'ai plus aucun parents vivant et naturellement je tiens à ce qu'on prenne grand soin de mes chats bien aimé. Personne ne saurait le faire mieux que mon dévoué serviteur Edgar Edgar s'approche du tuyau ➢ Edgar, Adélaïde vous voulez dire que vous allez laisser votre immense fortune à Edgar, tout ce que vous possédez ? Vos actions, vos obligations, cette hôtel particulier, votre chateau en Touraine, vos trésors artistiques, vos bijoux ? ➢ George, je les lègue à mes chats ➢ A vos chats ? ➢ Au chats ?! ➢ Je veux que mes chats hérite d'abord ensuite quand le dernier aura quitter cette terre, tout ce que je possède reviendra à Edgar Edgar s'assoie sur une malle ➢ Les chats hérite d'abord et je ne viens que après les chats. Moi, après eux, c'est trop, ce n'est pas honnête Il se relève et se cogne la tête contre le tuyau ➢ Je veux dire, en admettant qu'avant la mort de madame dieu sait quand, chaque chats et les trois chats en auront trois, ça fera vingt-sept chats puis quatre-vingt une qui en feront des centaines puis des milliers, des dizaines de milliers. Toute la fortune passera et je serais mort. Ils seront morts Edgar enfile son pantalon ➢ Je trouverai un moyen. Il y a des millions de raison pour que je trouve tout cette argent, des millions. C'est chats doivent disparaître Edgar enfile sa jambe brusquement et déchire son pantalon ----- ----- ----- Les chatons court dehors et s'approche de la porte d'entrée ➢ Attendez-moi ! Attendez-moi ! ➢ Moi, d'abord Ils rentrent en même temps dans la chatière ➢ Pourquoi, toi d'abord ? ➢ Parce que je suis une dame, voilà pourquoi ➢ Tu n'est pas une dame ➢ Tu est rien qu'une sœur Marie saute sur le sol, Berlioz attrape sa queue et entre dans la pièce ➢ Je vais te faire voir, si je ne suis pas une dame Ils se courent après et jouent ensemble ➢ Tu me chatouille ➢ Tape dessus, vas-y Berlioz et Marie s'approche de Toulouse, il saute sur la table et s'accroche à une bougie. Marie, tire le noeud de Berlioz ➢ Pas de triche, Marie. Les filles sa triche tout le temps Toulouse tombe sur la table et une bougie tombe sur la tête de Marie ➢ Tu m'a fait mal. Maman, maman ! ➢ Marie, chérie. Marie, je vous en prie, veuillez cesser, c'est tout à fait indigne d'une jeune fille du monde. Quand à vous Berlioz, vous devriez avoir honte de vous, votre conduite n'est pas d'un vrai gentleman ➢ C'est elle qui a commencé ➢ Les dames ne commence jamais les dispute mais elles savent les finir ➢ Berlioz ne soyez pas brutal ➢ On ne sait pas mal, on s'entraîne à mordre et à griffer ➢ Les aristochats ne joue pas à se mordre, à se griffer et autres gestes v*****t, quel horreur ➢ Un de ces jours, on pourrait rencontrer un chat de gouttière Toulouse saute de la table, dresse ses poils, miaule en crachant ➢ Allons, cela suffit. C'est l'heure maintenant de vous consacrer au perfectionnement de votre éducation. Vous tenez n'est-ce pas à devenir de charmants hommes et femmes du monde. Alors, Toulouse, allez reprendre vos couleurs et votre palette ➢ Oui, maman ➢ Maman, est-ce que nous pouvons regarder Toulouse peindre avant notre leçon de musique ? ➢ Mon dieu, oui, mon trésor mais surtout soyez sages Toulouse presse sur des pot de peinture qui tombe sur une palette. Il prend de la peinture sur sa patte et presse un pot de peinture qui tombe au sol. Toulouse mélange deux couleurs et commence à peindre sur un tableau blanc en représentant un visage ➢ Mais c'est Edgar ➢ C'est cette vieille face de rat ➢ Vieille face de rat, allons, Berlioz. Ce n'est pas gentil. Vous savez, Edgar nous aime tellement, il prend tellement soin de nous Le visage de Duchesse se montre ----- ----- ----- Edgar est dans la cuisine et tiens dans sa main, un flacon de cachets d'endormissement ➤ Dors et bien vite Soyez bien sages À moi tout l'héritage Il laisse tomber les cachets dans le lait pour les chats puis prend des exhausteur de goût et en verse dans le lait ➢ Edgar, espèce de vieille ficelle Il touille le lait et s'apprête à le goûter ➢ Seigneur, un coup de pouce et tout le monde s'endors en douce. Dis donc, je deviens poète. Coup de pouce en douce Marie est à côté de Duchesse dans le salon ➢ Maintenant, laissons Toulouse à sa peinture. Mes chéries, installez-vous au piano. Allez, allez, dépêchez-vous. Dépechez-vous, tout les deux ➢ Oui, maman ➢ Oui, maman ➢ C'est l'heure de faire vos gammes et vos arpèges Marie monte sur le piano et s'installe à côté des touches, Berlioz s'installe sur la chaise devant le piano. Il fait craquer ses pattes ➢ S'il vous plaît, maestro Il fait glisser les touches et tord la queue de Marie ➢ Maman, il a recommencer ➢ La fade ➢ Berlioz, s'il vous plaît, chéri. Installez-vous, faite moi plaisir chanter votre chanson ➢ Oui, maman ➤ Do mi sol do do sol mi do Le vrai musicien répète avec ardeur De savantes gammes et des arpèges Mais il faut qu'il sache que sa voix doit sortir du coeur En chantant ses gammes et ses arpèges ➤ Si nous voulons, chaque jour, les pratiquer Nous verrons nos progrès vite encouragés Do mi sol mi do mi sol mi fa la do la do Répétons nos gammes et nos arpèges Do mi sol do Toulouse s'assoie sur le piano et presse les touches avec ses pattes colorés par la peinture ➤ Do sol mi do do mi sol do do sol mi do Ce travail fastidieux qu'on fait sans effort Un beau jour, pourra valoir son pesant d'or ➤ Et vous permettra de jouer de ravissants accords Apprenons nos gammes et nos arpèges Berlioz et Toulouse saute, ils se cogne la tête puis retombe sur le piano. Edgar ouvre la porte avec un plateau ou est posé les bols de laits ➢ Bonsoir, mes chère petits. Le plat que vous préféré. Préparé tout à fait spécialement, suprême de crème à la Edgar. Dormer bien, je voulais dire, manger bien Les chats lèchd le lait dans les bols, Roquefort, une souris est dans son trou. Il sent l'odeur et sors avec un biscuit ➢ Bonsoir, chère Duchesse, salut, les chatons ➢ Bienvenue, Roquefort ➢ Salut, Roquefort ➢ Bonsoir, M. Roquefort ➢ Ça sent rudement bon chez vous et d'où viens ce délicat fumet ? ➢ Suprême de crème à la Edgar ➢ Voulez-vous en goûté M. Roquefort ? ➢ Eh bien, oui, je veux dire, il se trouve que par hasard j'ai justement un biscuit sur moi ➢ Vas-y, Roquefort, goûte ça ➢ Merci, vous permettez ? Rien qu'une petite trempette Roquefort trempe son biscuit dans le lait et grignote le biscuit ➢ Délicieux mes compliments au chef ➢ La-la que c'est bon ➢ Succulent absolument succulent. Ça mérite un autre biscuit, je reviens tout de suite Berlioz leche le lait et commence à bailler puis Roquefort baille à son tour et marche pas droit ➢ Aussi suprême à la Edgar Il tombe près de son trou et s'endors ----- ----- ----- Le soir-même Edgar sort de la demeure avec les chats dans un panier endormi à l'intérieur. Il se prend les pied dans une poubelle puis avance en marche arrière, son dos se colle contre une branche d'arbre, il prend peur. Se retourne et soupire. Il pose la panière sur un triporteur à côté de sa moto, ouvre le draps et regarde l'endormissement des chats. Il démarre sa moto et roule dans la ville. Il roule sur un chemin de campagne. Au loin, Lafayette et Napoléon dorme sous une charrette, le bruit du moteur réveille Napoléon ➢ Lafayette ! Lafayette ! Lafayette montre sa tête en dehors d'un tas de foin ➢ Je suis là ➢ Écoute, j'entend un bruit de roue ➢ Napoléon, nous avons mordu six pneus aujourd'hui, couru après quatre autos, une bicyclette et une moto ➢ Tais-toi, c'est une moto-cyclette, deux cylindres transmission par chaînes et une roue voilé. Une roue voilé à l'avant on dirait. Alors toi tu attaque sur les flans et moi j'attaque quand l'ennemi est désarçonner ➢ Pourquoi ce n'est jamais toi la première vague d'assaut ? ➢ Parce que je suis le chef, voilà pourquoi. Cesse de rouspéter et sonne la charge Lafayette aboie ➢ Tu sonne la soupe ➢ De toute façon c'est une sonnerie ➢ Je peux très bien te remplacer, tu sais ➢ Sonnons la charge ➢ Arrête trompette, c'est moi qui suis le chef. C'est moi qui décide quand on y va. Alors, on y va. Chargé ! Ils courent et aboie en arrivant devant la mobylette de Edgar. Il descendent une pente, le panier tombe sur le sol, Edgar avance sur le haut du pont puis monte la pente, les chiens sont assis sur le triporteur de la mobylette. Edgar les voient et s'accroupis sur le guidon ➢ Gentil, toutou Il tourne sur lui-même, Napoléon lui arrache un morceau de son pantalon, puis Lafayette mord ses bretelle et se fait projeter sur un arbre puis fait projeter Edgar dans les airs, il ouvre son parapluie. Napoléon est au commande et Lafayette est sur le triporteur de la mobylette ➢ C'est beaucoup mieux que de cavaler, Napoléon Il percute un arbre qui détache le triporteur de la mobylette. Le parapluie se referme et Edgar tombe sur la mobylette. Ils conduit et arrive près du triporteur, Lafayette attrape les bretelles de Edgar puis se cogne contre lui. Ils arrivent vers le moulin, Edgar saute sur l'hélice et Napoléon mord son fessier puis tombe sur le sol, Les roues du moulin se prend dans le collier de Lafayette. Edgar saute dans les airs avec son parapluie, Lafayette bondit sur lui, glisse le long de ses jambes et tombe dans le triporteur conduit par Napoléon. Edgar tombe en équilibre sur la moto en mouvement ➢ Vas-y, plein gaz Napoléon ➢ Je gaz comme je peux Lafayette agrippe la mobylette en s'étirant, Edgar presse les pattes de Lafayette puis ils pose ses pied sur la moybilette et sur le triporteur, ses jambe s'étire et ils marche avec ses mains sur le sol. Lafayette remonte le pantalon de Edgar et mord ses mollets. Il fait un bond et remonte sur la moto. Ils prennent un chemin différent, Le triporteur percute une barrière, Lafayette et Napoléon tombe dans de la boue. Edgar conduit, entre dans le moulin et le détruit en fessant un passage puis s'éloigne sur la route. Duchesse est allongés sur l'herbe, à quelques mètres le berceau est posés. Duchesse sursaute en se réveillant par des éclair ➢ Ou suis-je, mon dieu ? Je ne suis pas à la maison. Chère petits, ou êtes vous, répondez moi ! Berlioz, Toulouse, Marie, ou êtes vous ? Marie est coincé dans un arbre ➢ Je suis la, maman ➢ Marie, ma chérie. Vous n'avez pas de mal ? ➢ Je crois que j'ai fait un cauchemar et que je suis tombé du lit ➢ Allons Marie chérie, il ne faut pas avoir peur ➢ Maman, maman ! ➢ Ça, c'est Berlioz ➢ Par ici, Berlioz. Mon trésor, nous sommes ici. Ne vous inquiétez pas tout s'arrangera très bien Berlioz est mouillé, il marche dans l'eau ➢ J'arrive, maman. J'ai froid et je suis tout mouillé Berlioz entend le son d'une grenouille ➢ Maman ! Maman ! Maman ! Berlioz court en fessant demi-tour en prenant peur et se refugie dans les pattes de Duchesse ➢ Chéri, ce n'est qu'une petite grenouille, mon amour ➢ Elle a une grande bouche comme un hippopotame Marie imite le cri de la grenouille en se moquant de Berlioz ➢ Qu'est-ce que ça à de drôle ? ➢ Voyons, chérie, rester là bien tranquillement, je vais chercher Toulouse. Toulouse ! Toulouse, ou êtes vous ? ➢ Toulouse ? ➢ Toulouse ? Toulouse sors sa tête du panier ➢ Dis donc pourquoi tout ces hurlement ? ➢ Pourquoi tu n'a pas répondu ? ➢ Maman, il était caché là tout le temps ➢ Le ciel soit loué, vous n'avez pas de mal ? ➢ J'ai fait un drôle de rêve cette nuit. Edgar était avec nous, on roulait, on sautait et on rebondisait tous La grenouille se met à croasser ➢ Des grenouille, ce n'était pas un rêve. C'est Edgar qui nous a fait le coup ➢ Edgar, chéri mais c'est ridicule ➢ Peut-être bien que tu est tombé sur la tête Un orage retenti dans le ciel ➢ Maman, j'ai très peur. Je veux rentrer à la maison ➢ Allons, allons mon trésor il ne faut avoir peur, vous verrez Un deuxième orage retenti ➢ Seigneur, rentrons vite dans le panier ➢ Maintenant, qu'est-ce qui va nous arriver ? ➢ Chère petits, je ne saurait vous dire. Nous sommes dans une triste situation ➢ J'aimerais tant que l'on soit à la maison avec madame ➢ Pauvre madame, elle sera tellement inquiète en voyant que nous avons disparu Duchesse et les chatons regardent le paysage. Dans la demeure, Adélaïde se réveille dans son lit ➢ Duchesse, chatons ?! Bonté divine, j'ai fait le plus horrible des cauchemar à leur sujet mais dieu merci ce n'était qu'un mauvais rêve. D'où jésus, quel affreuse nuit Elle se lève de son lit et s'approche du berceau des chats ➢ Voyons, mes chère trésor n'ayez plus peur. Le vilaine orage est passé Elle ouvre les draps et découvre le lit vide ➢ Ils ont disparu ! Elle ouvre les grande porte et court dans un couloir ➢ Duchesse ! Chatons ! Duchesse ! Ou êtes-vous ? Ils ont disparu ! Roquefort sort de son trou et entend la voix affolé de Adélaïde ➢ Duchesse, chatons, disparu ! Quel choses horrible ! Mais où ? Pourquoi ? Seigneur, il a pu leurs arriver n'importe quoi par une nuit pareille. Ils ont pu se noyer dans un caniveau, être frappé par la foudre. Ils ont besoin d'aide, il faut absolument que je les retrouve Roquefort sors par la chatière ➢ Duchesse ! Chatons ! Roquefort court dans la rue de Paris ----- ----- ----- Le soleil se lève, Duchesse dors sur un rocher et entend la voix d'un chat ➤ J'adore manger d'la paella ainsi que d'la pizza Mais je fais ronron devant un gros poisson. Oui c'est moi le beau Walter, Giuseppe, Désiré, Thomas O'Malley, O'Malley, le chat d'gouttière. Je suis un grand voyageur Jouant la fille de l'air Goûtant la complice fraîcheur De l'herbe printanière J'adore aussi m'balader Dans les rues d'ma cité ➢ Ouais ! ➤ A tous mes frères de l'élite sociale, Comme aux petites minettes pas trop mal, je proclame : C'est moi le beau Walter, Giuseppe, Désiré, Thomas O'Malley, O'Malley, le chat d'gouttière. ➢ Oh mon Dieu, Monsieur, vous semblez apparenté à toute l'Europe ! ➢ C'est vrai, j'suis un chat absolument unique ! ➤ Je suis Roi de la rue. O'Malley saute de l'arbre sur le sol et s'approche de Duchesse ➤ Je fais ce qui me convient. Je raffole d'imprévus. La planète m'appartient Et si vot' route est mon but, Votre chance est unique ! Callcutta ou Rome, Je suis votre homme ➢ N'est-ce pas ... Magnifique ... qu'en dites-vous ? ➢ Oh ! Regardez ... un chat de gouttière ! ➢ Chut ! Écoute ! ➤ Si je n'ai que mes rêves, Je vis heureux comme ça. Quand je vois la chance qui se promène, Je lui fais signe du doigt. A quoi bon me préoccuper. Du chemin que je dois emprunter Où qu'il veuille aller, Je s'aurait l'aimer. Aussi, n'allez pas vous inquiéter Pour moi ... Ouais ! C'est moi le beau Walter, Giuseppe, Désiré, Thomas O'Malley, O'Malley, le chat d' gouttière. ➢ C'est vrai ! Et ça, j'en suis vraiment fier. Ouais ... ➢ Bravo, c'est excellent. Vous avez un grand talent ➢ Merci et comment c'est votre nom ma belle ? ➢ Je m'appelle Duchesse ➢ Duchesse, c'est charmant, adorable. Et quel yeux, vos yeux c'est comme deux saphirs brillant de mille feux. Le jour, il sont plus lumineux, plus radieux ➢ Comme c'est romantique ➢ C'est du bla-bla ➢ C'est très joli, monsieur et très poétique mais quand même ce n'est pas tout à fait du verlaine ➢ Bien sûr que non, c'est du pur O'Malley ma belle. Ça me vient tout seule, j'en ai des millions comme ça ➢ Plus de poésie, j'ai tellement de soucis et tellement d'ennui ➢ Des ennui ? Sortir d'affaire les jolies filles, les demoiselles en détresse c'est ma spécialité. Alors qu'est-ce qui ne tourne pas rond, altesse ? ➢ Voilà, il est de la plus haute importance que je regagne Paris. Auriez-vous l'amabilité de m'indiquer le chemin le plus court ? ➢ Pour y aller à pied, ce serais d'un banal. Nous allons regagner Paris sur mon tapis volant, côte à côte et les étoiles nous guideront seuls tout les deux Marie s'approche de O'Malley ➢ Ce serait vraiment merveilleux ➢ Trois, quatre, cinq ➢ M. O'Malley ce sont mes enfants ➢ Qu'ils sont jolis ➢ Dite c'est vrai votre truc de tapis volant ? ➢ C'est vrai que l'on va tous s'envoler dessus ? ➢ Voyons, voyons Marie ➢ Maman, est-ce que j'en ai moi aussi des saphirs qui font du feux dans les yeux ? ➢ J'ai dit un truc comme ça ? ➢ Quelque chose de se genre ➢ Vous avez dit qu'on s'envolerai sur votre tapis volant ➢ Je voulais dire, seulement que... Vous comprenez ➢ La poésie n'est d'aucun secours en l'occurrence, M. O'Malley ➢ En fait pour le tapis volant je pensais à une voiture grand sport, ma belle. Vous savez à un de ces... ➢ Peut-être bien un tapis volant seulement pour deux ➢ Je tiendrais si peu de place ➢ Je vous ai parfaitement compris, M. O'Malley. Les enfants nous partons ➢ Moi aussi, je suis un dur, un chat de gouttière Toulouse crache de la salive ➢ Dis donc, tu a des dispositions. Je parie que tu es un vrai caïd dans ton quartier ➢ C'est parce que je m'entraîne tout le temps ➢ Allons, allons Toulouse venez vite chéri ➢ Oui, maman ➢ A un de ces jours, caïd. Une famille drôlement bien. Quand j'y pense mon vieux O'Malley tu n'est pas un chat, tu n'est qu'un rat, d'accord ? D'accord O'Malley regarde Duchesse et les chatons s'éloigner et les interpelle ➢ Attendez ➢ Oui, M. O'Malley ➢ Écouter mes jolis, j'ai parler d'un tapis volant et bien, tapis volant il y aura. Il s'arrêtera pour prendre des passagers juste ici Il fait une croix sur le sol avec ses griffes ➢ Chic, on va monter en aero-plane ➢ Encore un envole au royaume de la fantaisie, M. O'Malley ? ➢ Non, non poupée. Allez vous planquer la-bas et pour le reste laisser faire Thomas O'Malley ➢ Vite, maman. Cachez vous là ➢ Mais voyons ➢ Vite, maman O'Malley monte sur une branche d'arbre, un camion transportant du lait arrive sur la route ➢ Voilà, un tapis volant, attention ➢ C'est ça, un tapis volant ? O'Malley bondit sur le capot, hérisse les poils et fait peur au conducteur ➢ Nom d'un chien ! L'homme roule en zizaguant puis s'arrête sur la route ➢ Ce n'est pas possible, saleté de chat. Il est complètement dingo Il tourne une manivelle sur le capot de la voiture ➢ Tout le monde en voiture pour Paris Ils montent à l'arrière de la camionnette ➢ Monsieur O'Malley vous avez risqué votre vie ➢ Il en faut plus que ça pour me tuer, c'est bien connu ➢ Je ne sais comment vous dire notre gratitude ➢ Tout le plaisir à été pour moi La camionnette démarre et commence à s'éloigner ➢ Aloha ! Auf Wiedersehen ! Goodbye ! Sayônara ! Et bien d'autre chose encore ma belle ➢ Au revoir, monsieur Marie tombe de la camionnette ➢ Marie ! O'Malley attrape Marie court et saute sur la porte, Duchesse l'attrape et la pose dans le camion ➢ Marie, ma chérie, tout va bien ? ➢ Oui, maman ➢ Je vous est déjà vu quelque part ? ➢ Oui, monsieur et j'en est été très heureuse ➢ Merci monsieur O'Malley, vous m'avez sauvé la vie ➢ Ce n'est pas la peine d'en parler princesse. Quand nous seront à Paris, je vous ferrai faire la tourné des grands-ducs ➢ Je suis absolument navrée mais nous devons décliner votre invitation. Vous savez ma maîtresse doit ce faire un sang d'encre à notre sujet ➢ Vous en faite pas, les hommes se sont jamais fait de bile pour les animaux ➢ Je suis désolé de vous contre-dire, notre maîtresse nous aime beaucoup. Pauvre madame dans sa grande maison maintenant elle doit être seule, combien seule. Elle qui nous aime tant. Comment oser penser l'abandonner, elle pour qui on est les seuls trésor que dieu est créer. Nous seuls, nous seuls pouvons la consoler Adélaïde est entrain de regarder à sa fenêtre ----- ----- ----- Frou-frou est à l'écurie avec Roquefort ➢ Roquefort, je me suis fait tant de soucis pour toi. Est-ce que tu a appris quelque chose ? ➢ Pas de traces de nos amis et je les ai cherché toute la nuit ➢ Je le sais et la pauvre madame, n'a pas dormi non plus ➢ C'est un triste jour pour nous tous Edgar arrive dans l'écurie en fredonnant ➢ Bonjour, Frou-Frou, ma vaillante cavale. Peux-tu garder un secret, bien sûr que tu peux, suis-je bête. Alors écoute mais ne monte pas sur tes grands chevaux si j'ose m'exprimer ainsi. Regarde Frou-Frou, je suis en première page du journal Il tend le journal vers Frou-Frou en montrant l'article ➢ "Un mystérieux ravisseur enlève toute une famille de chats" N'es-tu pas fière de moi ? ➢ C'est lui le ravisseur ➢ La police dit que c'est un travail de professionnel, un travail génial. Pas mal, hein, Frou-Frou, ma vieille Il tape le journal sur le fessier de Frou-Frou qui hennit et se cambre, Roquefort tombe dans un sac de graines ➢ Il ne trouveront pas une seule preuve pour m'impliquer, pas un seule indice. Il ne me feront pas porter le chapeau. Chapeau, Parapluie, nom d'un chien ! Il faut que je les récupère ce soir ➢ Certe espèce de crapule, de vaurien, de maître d'hôtel Edgar sors en courant, Roquefort sors du sac en crachant des graines ----- ----- ----- Le conducteur du camion avance sur la route ➢ Qui veut son petit déjeuner ? ➢ Quel petit déjeuner ? ➢ Ou est-ils ? ➢ Sous le tapis magique mais il faut invoquer un peu de magie. Alors vous êtes prêts ? Les chatons acquiescent ➢ Très bien, d'abord premier signe diabalistique, on remue le nez, on se chatouille le menton maintenant on ferme les yeux, une croix sur le cœur et presto ces messieurs, dames sont servi Il retire le draps et un bidon de crème apparais ➢ Hourra, on a gagné ! ➢ Regarder, maman Les chatons se mettent au dessus du bidon et l***e la crème ➢ Vraiment monsieur, vous êtes prodigieux ➢ Je sais, je sais Le conducteur vois les chats à l'arrière de sa camionnette, il freine brusquement et les chats sont propulsés à l'arrière de la camionnette, O'Malley est propulsé sur le visage du conducteur ➢ Voleur ! Fripouille ! Sac à puce ! Ils descendent du camion en courant, le conducteur envoie une poignée métallique et un bidon de lait. Ils se réfugie dans une bâtisse près d'un chemin de fer ➢ Mon dieu, quel affreux, quel horrible être humain ➢ J'ai connu pire que ça, Duchesse. J'ai appris à vivre auprès d'eux ➢ Je vais lui faire voir Toulouse dresse ses poils en crachant et en miaulant ➢ Mollo, petit tigre. Tu a mangé du lion ? ➢ Il nous a appelé sac à puce ➢ J'aimerais tant me retrouver à la maison ➢ Nous en sommes encore assez loin, alors perdons pas de temps Les chatons court et saute sur les rail de fer ➢ Regarder ce pont, on pourrais jouer au petit train ➢ Faite attention mes enfants ➢ Marie, c'est le fourgon et en voiture Toulouse imite le bruit d'un train en avançant. La sonnerie d'un train retentit en arrivant en face d'eux ➢ Oh, non ! ➢ Allons pas de panique ! Planquons nous en dessous Ils se couche sur une poutre en bois, le train passe, il remonte sur le haut des rails, Marie est dans l'eau et se fait emporter par le courant ➢ Maman ! ➢ Marie ! Marie ! ➢ Garde la tête hors de l'eau, j'arrive O'Malley saute dans l'eau, nage et prend Marie par son ruban, il se maintient sur un morceaux de bois. Duchesse court dans l'herbe puis monte sur un arbre ➢ Thomas, je suis là ! Il propulse Marie, Duchesse l'attrape et la pose sur le sol ➢ Dis donc Marie, pourquoi tu t'es laissé tomber du pont ? Marie le regarde et lui tire la langue, il court rejoindre Duchesse ➢ Thomas, je vous en prie faite attention ➢ Ne vous inquiétez pas ma jolie, je vous retrouve un peu plus bas Des oies du nom de Amelie et Amelia marche sur un chemin ➢ Mon dieu, quel ravissant paysage, Amelie. On se croirait dans notre Angleterre natale ➢ Tout à fait ➢ Amelia, si je dois encore marcher je vais avoir les pieds plats ➢ Amelie, nous sommes née avec les pieds plats Les deux oies se mettent à rire, Amelie vois O'Malley dans l'eau. Il saute du morceaux de bois et se cramponne à une branche ➢ Dite, regarder moi ça ➢ Comme c'est surprenant ➢ Que c'est curieux, un chat qui apprend à nager ➢ Il ne s'y prend pas du tout comme il faut ➢ Pas du tout, il faut lui montrer comment on fait Les deux oies nagent dans l'eau et s'approche de O'Malley ➢ Monsieur ! Monsieur ! Vous avez beaucoup de chance que nous sommes passez par la ➢ Nous allons vous aider ➢ Pas de ça, fillette ➢ D'abord, vous devez prendre confiance en vous en essayant de nager en douceur ➢ Fichez le camp, je vais aller où j'ai pattes ➢ Vous n'arriverez jamais à nager convenablement si vous garder cette branche entre les dents ➢ Jamais, en effet. Coupe, coupe voilà c'est parti ➢ Pas ça Il ouvre sa gueule en retirant la branche et tombe dans l'eau. O'Malley gesticule dans l'eau ➢ Vous vous en tirez superbement ➢ Ne vous inquiétez pas pour la forme ça viendra plus tard O'Malley commence à se noyer dans l'eau ➢ Il est aussi à l'aise dans l'eau qu'un poisson. J'ai vraiment vu un élève aussi doué O'Malley s'accroche au plumes de derrière des oies, elles prennent peur ➢ Ce n'est pas l'endroit de batifoler Les oies voient des bulles ressortir du dessous de l'eau ➢ Doux Jésus, Amelia ne croyez-vous pas que... ➢ Je le croit. Pom Pom en l'air Elle mettent leurs visage dans l'eau puis ressortent ➢ Plus bas Elle s'enfoncent dans l'eau, les chatons et Duchesse s'avance vers l'eau ➢ Maman, le voilà ! O'Malley est tenu par Amelie et Amelia qui le ramène au bord de l'eau ➢ Vous vous en êtes beaucoup bien tiré pour un débutant ➢ Thomas, dieu merci vous êtes sauve ➢ Continuer à vous entraîner ➢ Au revoir, bon matou ➢ Je peux vous aider, M. O'Malley ? ➢ Surtout pas, on m'a un peu trop aidé jusqu'ici ➢ Mes demoiselles merci d'être venu au secours de M. O'Malley ➢ Ce n'est rien ma chère mais d'abord les présentations ➢ Nous autres anglaise aimons respecter les usages ➢ Voilà, je me présente Amelia Jacasse et voici ma sœur ➢ Miss Amelie Jacasse ➢ Nous sommes jumelles ➢ Nous somme de parents très proches ➢ Que c'est drôle, je l'aurais jamais deviné ➢ Regarde, elle ont les pied plat ➢ Oui ➢ Nous sommes en vacances ➢ Nous faisons le tour de France à patte ➢ Et à la nage de temps à autre ➢ Mais en surface, bien entendu ➢ Thomas, voici Amelia et et Amelie Jacasse ➢ Fichez moi donc la paix avec ces deux maîtres nageur femelles ➢ Voyons, Thomas ➢ D'accord, ma belle. Adieu, les poulette Les oies se mettent à rirent ➢ Poulette, nous sommes des oies ➢ Je vous prenais pour des cygnes ➢ Quel flatteur ➢ Votre époux est vraiment charmant et très bien comme il faut ➢ C'est que je ne suis pas précisément son époux ➢ Précisément, vous l'êtes ou vous ne l'êtes pas ? ➢ Très bien, je ne le suis pas ➢ Voilà qui est scandaleux ➢ Quel goujat ➢ C'est inadmissible, c'est un dépravé ➢ Un devergondé ➢ D'ailleurs, il a les yeux trop rapprochés ➢ Un regard chafouin et un sourire torve ➢ Il est même tendu et mou, de toute évidence un cajolet, un ojolet qui se joue des malheureuse trop confiante ➢ Comme c'est romantique ➢ Je vous en prie, permettez moi de vous expliquer. Thomas est un ami, un ami très chère qui nous accompagne... ➢ N'insistez pas Duchesse, ça va, laisser tomber. Salut les oies, à un de ces jours nous on va à Paris ➢ Quel chance, nous allons à Paris également ➢ Faisons la route ensemble ➢ Voilà une charmante idée ➢ Ce n'est pas vrai ➢ Alors, mettez vous ici, très chère et attendez. Vous, vous mettez là ➢ Duchesse, vous serez très bien ici ➢ Très bien ➢ Et vous, chérie, prenez cette place ➢ Que faisons-nous de M. O'Malley ? ➢ On ne peut l'abandonner ➢ Monsieur O'Malley, je crois que vous ne soyez forcer d'être à la queue. Tout le monde est prêt, penser que vous êtes des oies. En avant, marche Ils avancent ensemble sur la route ➢ Maman, il faut marcher au pas de l'oie comme elle ? ➢ Oui, chérie, penser oie ➢ A notre arrivé à Paris, nous vous présenteront à Oncle Waldo ➢ Waldo ? ➢ C'est notre oncle ➢ Trouvont Oncle Waldo au petit café ➢ Le petit café, j'en ai entendu parler, c'est magnifique À l'intérieur du petit café on entend les cri de l'oncle Waldo, des casseroles qui volent dans les airs ➢ Ma parole, il m'a mordu le doigt ! Allez, dehors je te dis ! Tu va ficher le camp, oui ! Décampe ! Ouste ! Dehors ! Bon débarras ! Oncle Waldo est projeter dans la rue, il prend son chapeau et le pose sur sa tête. Les oies et les chats avancent dans la rue ➢ C'est Oncle Waldo ➢ Oncle Waldo ➢ Amelie, Amelia, mes deux petites oiselles préférés ➢ Oncle Waldo, j'ai l'impression que vous n'avez pas bu que de l'eau ➢ Seigneur, qu'est-il arrivé au jolies plumes de votre queue ? ➢ Petite, c'est un scandale ! Vous ne pouvez pas croire ce qui on essayé de faire au pauvre vieil oncle Waldo. Regarder, regarder ça. En provenance directe de la ferme, oie rôti au marrons et arrosé de madère ➢ Arrosé, tu parle, il a au moins marinée dedans ➢ C'est affreux et étant un britannique, j'aurais préféré du cherry. Cherry ! Cherry ! ➢ Oncle Waldo vous êtes seulement un peu saoul ➢ Un peu beaucoup vous voulez dire ➢ Amelie, Amelie ! ➢ Oui ? ➢ Nous ferions bien d'aller coucher Oncle Waldo ➢ Dis donc, qu'est-ce que c'est que c'est messes basses ➢ Shh ➢ Voyons, petites oies pour venir chercher le vieil oncle Waldo vous aller réveiller tout le village. C'est où le voisinages ? ➢ Allons, venez oncle Waldo ➢ Je crois que nous devrions partir ➢ Bonsoir les chats, les oiseau du même plumage doivent sauter ensemble ➢ Doivent caqueter ensemble Amelie, Amelia et Oncle Waldo s'éloigne de Duchesse, O'Malley et les chatons ➢ Vous voulez que je vous dise, l'oncle Waldo il me plaît ➢ En particulier quand il a mariner Duchesse les regardent s'éloigner en riant ----- ----- ----- Roquefort est à l'écurie avec Frou-Frou ➢ Frou-Frou voilà Edgar ➢ Au galop, Roquefort, saute sur la moto et surtout fait très attention Roquefort descend le long du crins de Frou-frou, Edgar ouvre la porte ➢ Frou-Frou ce soir l'opération "plus de chats" sera achevé, souhaite moi bonne pêche Roquefort est installé sur le phare cassé de la moto, Edgar démarre la moto ➢ Au revoir, Frou-Frou Edgar démarre à vive allure et Roquefort se fait propulser dans les airs, il se maintient sur le rebord du phare puis s'assoie à l'intérieur. Il se fait secouer à l'intérieur puis la plaque d'immatriculation de la moto se détache, Roquefort se maintient sur la plaque en se prenant la fumée au visage. Il tombe au sol et heurte le trottoir. Edgar continue d'avancer dans la rue. Il arrive au vieux moulin avec la canne à pêche s'avance vers une botte de foin ou dorment Napoléon et Lafayette qui ont le chapeau et le parapluie de Edgar. Il entendent leurs ronflement, se retourne et les vois. Il se cache derrière une botte de foin, Napoléon se réveille en écoutant le grincement des pas de Edgar ➢ Lafayette ! Lafayette, écoute ! ➢ La barbe, Napoléon, c'est encore cette abruti de grillon qui a un cauchemar ➢ C'est des chaussures qui grincent, elles viennent par ici ➢ Les grillons ne porte jamais de chaussures ➢ Tu va la boucler, écoute ! Il s'agit de bottines même que c'est du quarante-trois avec un trou dans la semelle gauche on dirais ➢ De quel couleur elle sont ? ➢ Elle sont noir mais comment veux-tu que je le sache ? Edgar pose ses chaussures au sol et avancent en chaussettes en fessant plus aucun bruit ➢ Écoute, à présent ça grince plus ➢ Je continue à dire que c'était le grillon au cauchemar ➢ C'est moi qui suis le chef, c'est moi qui dirais ce que c'était. C'était le grillon au cauchemar ➢ Bonsoir à demain matin, Napoléon Ils s'endorment, Edgar tend sa canne à pêche au dessus du foin, il attrape son chapeau et le fait tomber sur la tête de Lafayette. Napoléon veut toucher le chapeau et s'aperçoit qu'il a disparu et vois Lafayette avec le chapeau sur sa tête ➢ C'est mon chapeau, c'est moi le chef ➢ Alors, ne fait pas l'idiot et ne crie pas après moi, je ne t'ai rien fait Lafayette se tourne et pose sa tête à l'intérieur du panier puis se rendorment. Edgar descend la canne à pêche, attrape le chapeau et le soulève, Napoléon à les yeux ouvert et le replace sur sa tête et le maintient avec ses pattes et s'endors. Edgar sort son bras et chatouille Napoléon ➢ C'est bon, j'aime ça, Lafayette ➢ Oui, chef ➢ Un peu plus bas et un peu plus vite ➢ Je gratte aussi vite que je peux, Napoléon ➢ Comme ça c'est bon Napoléon se redresse et Edgar prend son chapeau entre ses dents et se cache sous la paille. Il ressors au dessus de la paille, embrasse son chapeau et le pose sur sa tête. Il descend la canne à pêche, prend le panier en le soulevant. Napoléon se réveille et vois le panier qui se lève. Edgar fait tomber Lafayette à côté de Napoléon ➢ Chaud... Douillet Edgar veut prendre son parapluie qui est coincé sur la sonnette du triporteur. Il tombe du haut de la botte de foin et fait éjecter le triporteur, Lafayette et Napoléon retombe sur le sol et Edgar se cache sous la paille ➢ Qu'est-ce qui se passe ? Nom d'un chien qu'est-ce que tu fabrique ? ➢ C'est toujours moi qui me fait attraper ➢ Attend un peu, ou est mon chapeau et quelqu'un m'a fauché mon pépin ! ➢ Ou est mon cou-couche panier ? ➢ Je ne sais pas qui c'est mais il va se faire drôlement corrigé ➢ Cette fois c'est moi qui fut un seconde ligne ➢ Tais-toi et suis moi Ils marche et Lafayette pose ses pied dans les chaussure de Edgar, il marche et les chaussures se mettent à grincer sur le sol ➢ Napoléon, revoilà les chaussures qui grincent ➢ Je les entend ➢ Napoléon, j'ai une de ses frousses. J'ai la chair de poule, moi ➢ Pas le moment de faire la poule mouillé Lafayette recule et se glisse sous le corps de Napoléon, il recule sa patte et coince l'oreille de Lafayette ➢ J'ai l'impression que tout va bientôt se déclancher Lafayette tire son oreille et donne un coup dans le ventre de Napoléon, ils prennent peur et court chacun d'un côté et se cogne le front l'un contre l'autre ➢ Tu l'a vu ➢ Il s'est glissé derrière moi et il m'a assommé ➢ Il m'a pas fait mal, il m'a cogné sur la tête ➢ Écoute, on dirais que ce quelque chose a une roue ➢ Quel chose à une roue ? ➢ Tu ne va pas vouloir me croire mais c'est une meule de foin à une roue. Tiens, la voilà, viens vite ! Ils court derrière la meule de foin en aboyant et se jette dedans, Edgar reste sur le triporteur et pousse la meule de foin sur un charrette. Il attrape un arbre avec son parapluie et fait demi-tour. La meule de foin percute la grange, Lafayette et Napoléon ressors du foin. Edgar s'enfuit sur sa mobylette en tenant avec son parapluie le triporteur ou à l'intérieur est poses la canne à pêche et le berceau ➢ C'est la guerre Napoléon, on ne peut pas toujours gagner Napoléon lui donne un coup de poing sur la tête ➢ Nom d'un chien Lafayette se touche la tête en regardant Napoléon ----- ----- ----- Sur les toits de Paris, Duchesse, O'Malley et les chaton marchent ➢ Thomas, Madame doit se faire tant de soucis. Seront-nous vraiment à la maison ce soir ? ➢ Maman, je suis fatigués ➢ J'ai mal à mes pattes ➢ Écouter, ma belle. Il est tard et les petits sont éreinté ➢ Je parie qu'on a fait deux cent kilomètres ➢ Je parie qu'on en a fait plus de mille ➢ Allons courage mes petits chéri, M. O'Malley connais un endroit où nous pourront passer la nuit ➢ Dis donc ce n'est pas trop loin d'ici M. O'Malley ? ➢ Redresse t'es moustache, petit tigre. C'est juste après la prochaine cheminé. Nous y sommes, Duchesse voilà ma piaule, ce n'est pas aussi chic que le ritz mais c'est un endroit tranquille Une lumière jailli et une trompette se fait entendre ➢ On dirait que ce vieux Scat Cat est sa b***e sont pas loin ➢ Des amies à vous ? ➢ Ce sont de vieux copains et se sont tous des mordus ➢ Des mordus, qu'est-ce que c'est des mordus ? ➢ Vous savez, un Scat c'est un mordu du jazz, un Scat Cat c'est un chanteur qui chante sans lire les paroles. On va ailleurs, Duchesse ? ➢ Je tiens à voir votre piaule et à connaître ce Scat Cat ➢ Bon, d'accord Ils s'approche de la fenêtre et vois des chats à l'intérieur d'une chambre entrain de jouer des instruments ➢ Scat Cat, envoie nous un peu de ta musique douce par ici ➢ Visée ça les gars, ce vieux matou de Thomas est revenu dans le secteur ➢ Un peu de swing, papa O'Malley descend et saute sur les touches du piano en glissant ➢ Serre moi la patte, Scat Cat ➢ Buona sera, paisano ➢ Welcome chez toi, O'Malley ➢ Duchesse c'est le plus grand des Scat Cat, des chanteurs d'Europe ➢ Je suis enchanté je vous connaître M. Scat Cat ➢ Moi de même, Duchesse. Ce que vous êtes belle ➢ Vous êtes un charmeur et votre musique est si différente, si stimulante ➢ Ce n'est pas du beethoven maman, mais ce truc là ça rebondit ➢ Ce petit minou, il en connaît un drôle de goût ➢ Un drôle de goût de quoi ? ➢ Ma petite dame, je vais vous expliquer la chose ➤ Tout le monde veut devenir un cat Parce que un chat quand il est cat Retombe sur ces pattes ➤ C'est vrai ! Tout le monde est piqué De ces pas si bien rythmé, Tout semble auprès de lui très démodé ➤C'est comme les bottines à boutons ➤ Une cloche, dès qu'il joue Sa trompette vous rend fou ➤ Ça swingue comme un pied ➤ Mais oui, c'est pire que l'ennui Oh là là mes amis ➤ Qu'elle calamité Za za za za Ollé ➤ C'est comme parmi ces gars qui veulent chanter ➤ C'est un cat Le seul qui sache s'acharne à swinguer ➤ Qui donc danserait encore La gigue avec des nattes? ➤ Quand tout le monde veut devenir un cat Une cloche, quoi qu'il joue Bientôt sa vous rend fou Ça swingue comme un pied ➤ Oh rinky, tinky tinky ➤ Oui c'est pire que l'ennui Oh là là mes amis Quelle calamité ➤ Oh rinky, tinky tinky ➤ Oui ➤ Tout le monde veut devenir un cat Parce que un chat quand il est cat Retombe sur ces pattes A jouer du jazz On devient vite un acrobate Oui tout le monde qui daigne du swing des cats ➢ Aloha, camarade ! Allez-y, faite le bien ! ➢ Remuer vous les gars Ils dansent, jouent des instruments ➤ Shanghai Hong-Kong Fu-Yu Faut toujours être dans la note Ça c'est du hot ➢ On s'en fait une petite toute les deux, Duchesse ? ➢ Swingon ensemble, Thomas Duchesse et O'Malley dansent ensemble ➢ C'est du tonnerre, maman. Du tonnerre ➢ Essaie mon minet, souffle un coup Berlioz souffle dans la trompette ➢ Bon sang, quel souffle ! ➢ Pourtant c'est un débutant La musique retentis, des lumière de couleurs se dispersent dans la pièce et les chats dansent, chante et joue de la musique. Duchesse est assis est joue de la harpe ➢ Ce qu'elle est belle ➤ J'aimerai plus de passion Plus de cœur et d'abandon Habillez de couleurs cette chanson ➤ Il n'y a qu'à jouer en d'autres clefs ➤ Moduler, oh oui, ça me plait Car j'adore faire certaines Petites variations ➤ Les autres chats vont s'assembler Dans la ruelle mal éclairée La grande nuit va commencer ➤ Nous les laisserons alors s'aimer Les chats sautent sur le piano et joue dessus ➤ Tout le monde Tout le monde Tout le monde veut devenir un cat Alléluia Alléluia ! Alléluia ! Tout le monde veut devenir un cat Ils descendent les étages en cassant le parquet ➤ Je le dis bien haut ➤ Tout le monde Tout le monde Du pirate au bel Aristocat ➤ Yeah ➤ Alléluia ! Alléluia ! Tout le monde veut devenir un cat ➤ Mmmm! ➤ Tout le monde Tout le monde Un par un par 3 ou même par 4 ➤ Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Tout le monde veut devenir un cat Ils sortent dehors, jouent en chantant dans la rue ----- ----- ----- Duchesse couche ses trois enfants dans un lits ➤ Tout le monde veut devenir un cat ➤ Parce qu'un chat, quand il est cat Retombe sur ses pattes ➤ Oh, ouais ! ➢ Faite de beaux rêves, mes trésor Duchesse saute sur le rebord de la fenêtre, O'malley la rejoins et regarde les chatons dormir ➢ Je vous parie que en ce moment, ils sont tous sur le tapis volant ➢ Ils avaient du mal à garder les yeux ouverts Marie se réveille et vois Duchesse et O'Malley côte à côte ➢ Qu'elle journée passionnante ➢ Ça on peut le dire et qu'elle nuit ➢ Thomas, vos amies sont vraiment fascinant. Je les adore ➢ Bien sur, ils ne sont pas fort sur les chateries, ils ne sont pas bien lèchés. Mais si vous êtes dans le pétrin, les voilà qui rapplique ➢ Lorsque nous avons eu besoin de vous, vous aussi vous êtes arrivé ➢ C'est un gros coup de veine pour moi, je voulais pas le louper ➢ Mille merci de nous avoir accueilli sous votre toit. Je veux dire dans votre piaule Duchesse et O'Malley monte sur le toit en s'asseyant sur une cheminé et Marie s'approche de la fenêtre ➢ C'est très gentil ➢ N'exagérons rien. Vous savez par ici, c'est le quartier des loyers à bon marché ➢ Ça me plaît, peut être cela a-t-il besoin d'être quelque peu nettoyé et ranger et peut être aussi une touche féminine ici et là ➢ Si vous postuler pour l'emploi, moi, je suis d'accord Berlioz arrive près de Marie à la fenêtre ➢ Oh, chic maman va travaillé pour M. O'Malley ➢ C'est pourtant vrai, vos yeux brillent comme des saphirs. Ça fait un peu vieux jeu, non ? ➢ Pas du tout, n'importe qu'elle femme aimerait entendre ces mots même ma petite Marie ➢ Tout ces petits chatons, Duchesse. Je les aime bien Toulouse arrive près de la fenêtre où est Marie et Berlioz ➢ Et eux, ils vous aiment beaucoup ➢ Oh, oui ! Marie pose sa patte sur la bouche de Berlioz ➢ Vous savez, ils ont besoin de quelqu'un qui serait une sorte de père ➢ Thomas, ce serait magnifique. Très chère, si seulement je pouvais ➢ Pourquoi vous ne pourriez pas ? ➢ C'est à cause de madame, je ne pourrais jamais la quitter ➢ Mais Madame ce n'est jamais qu'un être humain, vous n'êtes qu'un passe temps pour elle ➢ Nous sommes beaucoup plus que cela pour elle. Je suis absolument navré très chère mais il faut que nous rentrions demain matin ➢ Vous savez ce que vous avez à faire mais vous me manquerez et vos chatons, ils me manqueront aussi ➢ Hélas, on avait presque un papa ➢ Oui, allons nous recoucher ➢ Bonne nuit, Duchesse ➢ Bonne nuit, Thomas Duchesse s'éloigne de O'Malley qui se tiens sur une cheminé ----- ----- ----- Duchesse, Thomas et les chatons marchent dans les rues de Paris ➢ Miaou ! C'est rudement chic comme quartier. Regarder moi c'est mignons petit gourbi ➢ Gourbi ? ➢ Vous êtes sur que c'est la bonne rue ? ➢ Dépechons-nous, nous sommes presque arrivé Roquefort est à la fenêtre et vois Duchesse et les chatons ➢ Duchesse ! Chatons ! Hallelujah, ils sont revenu Il glisse le long du rideau et court sur le sol, il passe à côté d'une pièce et vois Edgar les pieds installés sur le piano ➢ Edgar, il faut que je m'en mêle, vite Edgar est en train de fumer un cigare et ouvre une bouteille ➢ Edgar, mon ami, il faut apprécier les bonnes choses car bientôt tout ceci sera à toi. Espèce de rusé grodin Roquefort monte sur le haut du piano se pose sur les chaussure de Edgar et fait un noeud avec les lacets, Edgar éjecte le bouchon de la bouteille et fait propulser Roquefort dans le fond du piano ➢ Je suis touché Les chatons court vers la porte d'entrée ➢ Aller à la maison ➢ Attendez-moi ➢ Moi, d'abord Ils se prenent la porte sur le nez ➢ C'est fermé ➢ J'ai une idée, on va tous se mettre à miauler Ils se mettent à miauler, Edgar entend les miaulement et recrache son vin ➢ Ça ne peut pas être eux ➢ Les chatons Edgar se lève et saute avec les pied liés puis tombe en avant, Roquefort arrive près de la porte ➢ N'entrez pas Il monte sur un parapluie et s'avance vers une fenêtre en frappant dessus ➢ Allez-vous-en ! Allez-vous-en ! ➢ Regarder, c'est Roquefort ➢ Bonjour, Roquefort ➢ Il est content de nous voir Duchesse et avec O'Malley devant la demeure ➢ Je ne sais trop quoi vous dire. Je voudrais seulement pouvoir... ➢ Peut-être que un gentil au revoir sans trop de cérémonie ➢ Je ne vous oublierai jamais, Thomas O'Malley, au revoir ➢ Au revoir, ma belle ➢ N'entrer pas ! Méfier vous de Edgar ! La porte s'ouvre, les chats rentrent à l'intérieur puis la porte se referme ➢ Duchesse, ou étiez-vous passé ? ➢ Faite attention... Edgar pose un sac sur eux en les enfermant ➢ ... au sac ➢ Je pense qu'il ont plus besoin de moi O'Malley s'éloigne de la demeure, à l'intérieur, Edgar ferme le sac ou Duchesse et les chatons miaulent ➢ Vous êtes revenu, ce n'est pas juste ➢ Edgar ! Edgar, venez vite ! ➢ Voilà, madame ! Voilà ! Ils court dans la cuisine avec le sac dans les bras ➢ Je m'occuperai de vous tout à l'heure Il jete le sac dans le four de la cuisine et referme l'ouverture, Adélaïde descend les escaliers ➢ Edgar, ils sont revenu ! Je les ai entendu ! Dépechez-vous ! Dépechez-vous, faite les entré ! Edgar ouvre la porte d'entrée, Adélaïde sort à l'extérieur de la maison ➢ Duchesse ! Chaton ! Venez vite mes trésors, ou êtes vous ? Venez vite ! ➢ Permettez moi madame ! Chaton ! Chaton ! Roquefort se tient devant le four et parle avec duchesse et les chatons ➢ Il s'appelle O... quoi ? ➢ Il s'appelle O'Malley ! O'Malley ! ➢ Walter Josèphe Désiré Thomas ➢ Peu importe, allez y et ramené le ➢ Je me dépêche ➢ Je l'avais bien dit que c'était Edgar ➢ Ça va, Toulouse Adélaïde se tiens devant la porte d'entrée ➢ C'est utile, Edgar, j'ai peur que ce soit l'effet de l'imagination d'une pauvre vieille dame. Mais j'étais tellement certaine de les avoir entendu ➢ Je suis vraiment navré madame Edgar ferme la porte en souriant, Roquefort court dans la rue et vois O'Malley qui marche dans la rue, il court et s'arrête devant lui ➢ M. O'Malley ! Stop ! Duchesse... les chatons... en danger. C'est le maître d'hôtel ! ➢ Duchesse et les chatons en danger ? Écoute, court chercher Scat Cat et sa b***e de chats gouttière ➢ Des chats de gouttière mais je ne suis qu'une souris ➢ Peut être mais il va me falloir de l'aide ➢ Vous voulez dire que... ➢ File, dis leurs que c'est O'Malley qui t'envoie et tu n'aura pas d'ennui Roquefort arrive près des gouttière et s'avancent prudemment ➢ Il a dis pas d'ennui, c'est facile à dire déjà des chats de salon qui sont bien nourris adore les souris alors les chats de gouttière... Peppo surgit, Roquefort prend peur et s'enfuit, Scat Cat l'attrape par la queue et le soulève ➢ Qu'est-ce que tu viens fichtre dans ce quartier, tu veux te suicider ? ➢ Pardon, j'ai été envoyé chercher du secours par un chat ➢ Ça ne tient pas debout, tu est dingo Il relâche Roquefort qui se cache dans une bouteille, les autres chats se mettent à rire ➢ Il m'a dit que je n'avais qu'à citer son nom ➢ Alors, vas-y dit son nom grignotin Billy Boss fait tomber Roquefort dans les pattes de Shun Gon ➢ S'il vous plaît ne me bousculer pas, il s'appelle Otoul ➢ Je connais pas Otoul. Une fois ➢ C'est Obriele ➢ Deux fois ➢ Misère, vous me croyez, n'est-ce pas ? ➢ Cause toujours minable ➢ Que diriez-vous de Ogradi ? ➢ Pauvre gars, tu est fait comme un rat. T'es dernière volontés ➢ Pourquoi j'ai écouté cet O'Malley de malheur ➢ O'Malley ! ➢ O'Malley ! ➢ Ça va, les chats, ce petit gars et régule ➢ Je me tue à vous dire que je suis régule ➢ On n'avais pas l'intention de te faire du mal, grignotin ➢ Assez bavarder ! O'Malley à besoin de vous, Duchesse et les chatons sont en danger ➢ Allons-y les gars et en vitesse ➢ Attendez-moi, vous ne savez même pas où c'est Les chats et Roquefort courent dans les rues ----- ----- ----- O'Maley se tiens devant la fenêtre et regarde Edgar au téléphone en tenant le sac ou les chats sont enfermé à l'intérieur. Il pose le téléphone et se dirige dans la grange en fermant la porte, O'Malley se dresse sur la voiture et regarde à l'intérieur par une fenêtre brisé ➢ Maintenant mes petit casse-pieds chérie vous aller faire un bon voyage en première classe dans votre cabine privé, vous embarquerez à Tombouctou et cette fois-ci vous en reviendrez pas Il fait tomber le sac dans une malle et ferme avec un cadenas, O'Malley saute sur les planches de l'étage ➢ Il faut se dépêchez, les messager vont arriver d'un moment à l'autre Edgar pousse la malle, O'Malley bondit sur Edgar et ferme la porte. Edgar le poursuit mais Frou-Frou attrape sa veste, il dechire un morceau de sa veste et se dirige vers la porte. Il pousse sur la porte et se fait éjecter en arrière quand la porte s'ouvre. Il fait glisser la malle et O'Malley la retient et Frou-Frou se met à travers en retenant la malle. Edgar poursuit O'Malley avec une serpe. O'Malley fait basculer une échelle et ils tombent au sol. Edgar pique le foin et vois surgir O'Malley, le poursuit de nouveau. Il arrive dans un coin où il est coincé, Edgar lance une fourche et O'Malley à son corps coincé sur une partie de la fourche. Edgar ouvre la porte et les chats de gouttière surgit sur lui. O'Malley essaie d'enlever la fourche, Roquefort arrive pres de lui ➢ Par là, ils sont dans la malle Roquefort tourne le cadenas, O'Malley retire la fourche avec ses pattes ➢ Silence ! Les chats et Edgar reste immobile et Roquefort tourne la manivelle et ouvre le cadenas puis les chats se ruent de nouveau sur Edgar. O'Malley ouvre la malle ➢ Tout le monde dehors en vitesse Il s'apprête à partir mais Edgar referme la malle ➢ Je vous enverrez à Tombouctou même si c'est la dernière chose que je fais Edgar se bat contre les chats qui se ruent sur lui, Billy Boss fait tomber une meule de foin puis une bouée qui l'immobilise puis un seau d'eau sur sa tête, Peppo accroche la bouée à un crochet et Frou-Frou le tire dans les airs. Duchesse, O'Malley et les chatons se libére dans la malle. Frou-Frou donne un coup de sabot sur Edgar et il tombe dans la malle qui se referme et glisse à l'extérieur. Le camion arrive près de la grange ➢ Dis donc, Toto ça doit être la malle à expédiés ➢ Elle doit aller à Tombouctou. Oh, hisse ! Les deux hommes mettent la malle dans le camion puis s'éloignent, Toulouse se met à miauler et crache, Duchesse et O'Malley rient ----- ----- ----- Dans la maison de Adélaïde, Duchesse, O'Malley et les chatons sont assis sur le canapé et Adélaïde se tiens devant une caméra ancienne ➢ Mes petits trésor, rapprochez vous les un des autres. Regarder, George qu'en pensez vous ? ➢ C'est très bien, très bien. Mais il faudrait s'occuper du testament ➢ Naturellement, vous savez ce que vous avez à faire ➢ Bien sur, briffons le maître d'hôtel ➢ Mon chère George, si Edgar avais connu la teneur du testament, je suis certaine qu'il ne seraient jamais parti. Duchesse, quel bonheur que tu sois enfin revenu et je trouve que ce jeune monsieur a très belle allure. Allons donc le garder dans la famille ? Les chatons se mettent à miauler ➢ Bien sur, nous le gardons. Nous avons besoin d'un homme dans cette maison. George, nous devons songer à assurer l'avenir de leurs futur enfants ➢ Naturellement, plus on est de fou plus on ris ➢ Ne bougeons plus, attention que chacun me sourit ➢ Souris, on m'a demandé Roquefort sors de son trou, Adélaïde prend la photo ➢ Merci, maintenant courez au rez-de-chaussée, une surprise vous y attend De la musique retentit dans la pièce ➢ Adélaïde, quel étrange musique. On dirait des chats qui ont la queue prise dans une porte ➢ Ce sont des cats, des chat mordu de jazz, mon chère George et les premiers élément de ma nouvelle fondation ➢ Quel fondation ? ➢ Mon club destines aux chats de gouttière de Paris Au rez-de-chaussée les chats jouent, dansent et chantent ➤ Tout le monde Tout le monde veut devenir un cat Alléluia ! Alléluia ! Tout le monde veut devenir un cat ➤ Tout le monde, Tout le monde Veut avoir des coussinets sous les pattes ➤ Tout le monde veux devenir un cat ➤ Tout le monde, Tout le monde Tout le monde veut devenir un cat Lafayette et Napoléon entendent la chanson et se met à aboyer ➢ Napoléon, on dirait que c'est la fin ➢ Attend un peu, c'est moi qui suis le chef. Je dirais quand ce seras la fin Les lettres "the end" apparais et heurte Napoléon ➢ C'est la fin Napoléon se couche sur le sol ➤ Oh ouais ! La musique de jazz retentis
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