Si vous consentez aux cookies lors de votre visite sur notre site web, nous pourrons recueillir des données pour des statistiques agrégées afin d'améliorer notre service et mémoriser vos options pour les prochaines visites. Politique de cookies & Politique de confidentialité
Cher lecteur, nous avons besoin de ces cookies pour assurer le bon fonctionnement de notre site web et vous fournir un contenu personnalisé répondant mieux à vos besoins, afin de vous garantir la meilleure expérience de lecture. Vous pouvez modifier vos autorisations à tout moment pour les paramètres des cookies ci-dessous.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
Chapitre 3 « Ô toi, grand Dieu de l’eau-de-vie, » Qui gouvernes cette cité » Où l’on a vu parfois notre peuple agité, » Protège-nous, je t’en supplie, » Contre ces noirs bandits qu’on appelle le gué. » FERGUSSON. Les Jours de folie. Le capitaine John Porteous, nom mémorable dans les traditions d’Édimbourg comme dans les registres du tribunal criminel de cette ville, était fils d’un artisan qui n’avait d’autres vues sur son fils que de lui faire apprendre son métier ; mais ce jeune homme avait autant de goût pour la dissipation que d’aversion pour l’ouvrage ; il s’enfuit de la maison paternelle, et s’engagea dans le corps écossais qui fut long-temps au service de la Hollande, et appelé le corps Scoto-Hollandais. Il y apprit la discipline militaire, et étant revenu dans sa patrie en 1