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« Pétrone ne pouvait choisir pour son roman une forme de composition plus variée, plus agréable que celle de la Ménippée ; aussi n’y manqua-t-il point, et voilà sans doute tout le mystère du Satyricon . Quant à la désinence du mot, les Latins, selon Gonsalle de Sallas, ont fait satyricon de satyra, comme ils faisaient épigrammation d’épigramma, elegidarion d’elegia ; le diminutif ne changeait rien d’essentiel dans l’objet principal de l’expression, il annonçait seulement dans le dérivé moins de prétention et plus d’enjouement. Peut-être aimeriez-vous mieux la leçon de Rollin, Baillet, Burmann et autres : ils font longue la dernière du Satyricon, et la prononcent comme l’oméga des Grecs. Dans cette hypothèse, le Satyricon serait un recueil de satyres. » Mais l’omicron n’en fait qu’un innoce