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Notes sur quelques poètes modernesSi j’étais roi, dit M. Henley, dans un de ses plus modestes rondeaux : L’Art l’emporterait, mais la laideur aurait son prix ; – La Beauté, comme une flèche, serait empennée d’esprit pour hâter son vol, – et l’amour, ce doux amour, ne se flétrirait jamais, – Si j’étais Roi. Et ces vers contiennent sinon la meilleure critique de son œuvre, en tout cas, l’indication la plus explicite de son but et de ses tendances comme poète. Son petit Livre de Vers nous révèle un artiste à la recherche de nouvelles méthodes d’expression, non seulement doué d’un sentiment délicat de la beauté, d’un esprit plein d’éclat et de fantaisie, mais encore, avec une réelle passion pour l’horrible, le laid ou le grotesque. Sans doute, tout ce qui mérite d’être, mérite aussi d’être