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XIX. — L’ESPADON. William ne se lassait pas de contempler cette créature étrange, quand il la vit tout à coup s’élancer en avant d’un mouvement brusque. On entendait le bruissement qu’il produisait dans l’eau, en même temps qu’on voyait sa grande nageoire dorsale saillir hors du flot comme un immense cimeterre, traçant autour d’elle, un cercle bouillonnant. Cet élan était évidemment dirigé contre le bane d’albaçores réfugiés près du Catamaran ; mais les malheureuses bêtes étaient continuellement sur le qui-vive ; bien que donnant tous les signes de la terreur la plus violente, ils ne perdaient pas un instant leur présence d’esprit ; dès que F ennemi entreprit sa charge contre eux, ils tournèrent d’un commun accord, et, prompts comme l’éclair, disparurent sous le radeau et reparurent dans