Chapitre 2

3544 Words
Le lendemain matin je suis réveillé par un gros cri perçant qui me fait immédiatement sursauter de mon lit Ruby : P(u)tain que se passe t’il ? April : Les gens sont vraiment fous sur le Darkweb April : Tu as 186 personnes qui ont postulé April : Et tes enchères montent, tu es à 70 mille dollars Elle me montre l'écran de mon téléphone sans vraiment y croire Ruby : P(u)tain tu as fouiller dans mon téléphone petite curieuse April : P(u)tain les gens sont devenus fou dans ce bas monde Je prends mon téléphone afin de parcourir les messages. Ruby : Ohhh il y a certain qui m'ont envoyé même la photo de leur bite regarde Je lui montre les photos, ce qui la fait immédiatement plonger dans un éclat de rire. April : Tu penses prendre tout ça en toi ? Ruby : P(u)tain non, celui-là est éliminé April : Hahahaha Ruby : Arrête. April : Tu comptes toujours continuer. Ruby : Nous ne sommes pas encore à 24h depuis le post et tu as vu ? Ruby : Tu sais quoi, je vais mettre une photo de moi en tenue légère sans mettre mon visage, je vais porter un masque April : Non ne fais pas ça Ruby : Chacun sa vie petite sœur April : Je ne sens vraiment pas ton délire Ruby : Tu es juste jalouse que j'ai le courage que tu n'as pas TOC.TOC.TOC Ruby : Oui maman nous sommes debout Madison : Ohhh très bien ma puce Je soupire bruyamment Ruby : J'ai encore mes petites culottes de luxe, ça va encore plus les attirées et faire grimper les enchères Elle soupire bruyamment, cependant je l'ignore et je me précipite dans la salle de bain me laver le visage et me brosser les dents. Ma sœur entre derrière moi en soupirant lourdement. Je continue ce que j'ai à faire sans me soucier d'elle. Lorsque je finis, je sors la laissant seule dans la salle de bain. Je me dirige dans notre chambre et je commence à choisir la lingerie parfaite, lorsque je la trouve je souris Je l'enfile et je porte un masque de bal que j'avais dans mon placard Je pose mon téléphone en face de moi et je mets le décompte avant de prendre mes photos Lorsque je finis je les publie ~~~~~~~~~~ Deux jours plus tard **************** José ************** Je descends des escaliers à grande enjambées. José : RICARDO ?? Criais-je en dévalisant les marches J'ai une rage folle qui ne s'atténuera pas de sitôt Ricardo : José que se passe-t-il ? José : Je veux que tu mettes la main au plus vite sur cette s(a)lope de Juliana José : Cette conn(a)sse de merde s'est f****e de ma gueule, elle m'a menti sur sa relation avec Joaquim, elle lui est loyale et elle à cracher un secret qu'elle devait garder Ricardo : Bien pas de soucis Il part sans rechigner, de mon côté j'essaie de me calmer, je me dirige alors vers notre salle de sport. J'enlève mon tee-shirt et je commence à donner des coups sur le sac de boxe. Juliana je vais la tuer, elle m'a mise en désaccord avec mon cousin. J'ai essayé d'arranger les choses avec lui car j'avais déjà gaffé une première fois. Je lui avais pris un de ses partenaires d'affaires, et maintenant à cause de Juliana, il sait que j'ai b(a)isé sa copine. P(u)tain elle était band(a)nte en plus elle ne faisait que me faire des yeux doux et du rentre dedans. J'ai cédé et je l'ai b(a)isé sauvagement, au final elle ne pouvait plus retourner à la maison. Alors, je lui avais demandé de rester jusqu'à ce qu'elle puisse s'en aller. Juliana une de mes putains l'a vu, comme cette c(o)nnasse travaille dans le bar de mon cousin, elle connaît très bien sa copine. Immédiatement, je lui avais clairement dit de la boucler. En revanche, cette sal(o)pe est allée révéler tout à mon cousin. Les choses ne vont pas bien entre lui et moi et avec cette nouvelle, on risque de commencer une guerre au sein du gang. Pas que j'ai peur de lui, cependant nous sommes tous une famille et la division n'est pas une bonne chose dans un cartel. La famille c'est sacré José : Je vais la tuer ! Encore une fois, je comprends pourquoi je déteste les femmes Elles sont des manipulatrices et non pas des moindres, les femmes sont les plus grandes manipulatrices du monde. Vous pensez que les hommes politiques sont de grands menteurs, que les voleurs sont des menteurs et que les avocats sont des menteurs ? Non, les seules personnes dans ce monde à détenir le mensonge et la manipulation dans leur veine et entre leurs mains, ce sont les femmes. Elles sont de grosses menteuses Elles sont aussi des s(a)lopes Des g(a)rces, des p(u)tains de sale chienne Elles sont horribles, orgueilleuses, cachottières, remplies d'ambitions lugubre Elles sont sans-cœur, même si elles font croire le contraire Elles sont égoïstes Je donne un coup de poing d'une grande viol(e)nce contre le sac de boxe. Juan : Que se passe-t-il José, pourquoi es-tu dans cet état ? Je me retourne et je lui lance un coup de poing, qu'il esquive de justesse Juan : P(u)tain calme toi mec Je le regarde et je serre mes poings violement Juan : C'est bon tu t'es calmé ? José : Désolé j'étais dans le feu de l'action Juan : Ça se voit, tu as failli me défoncer la gueule José : Je garde ma rage pour Juliana, cette sale p(u)te va me le payer ¤¤¤¤¤¤¤¤ José retourne à son sac de boxe Juan le regarde attentivement mais il s'imagine déjà comment José va faire souffrir Juliana dans d'atroce torture avant qu'il ne la tue Juan connait l'histoire de José, il sait combien il déteste et méprise les femmes depuis tant d'années. Il reconnaît que son ami avait décidé de leur donner le bénéfice du doute mais encore une fois il a été déçu des femmes et son cœur s'est enfermé à tout jamais. Pour lui, toutes les femmes sont les mêmes, il suffit juste de faire ressortir en elle leur véritable apparence. Pour lui certaines femmes cachent leur vraie apparence de sorcière et ce sont elles les plus dangereuses, les autres qui le montrent sont juste honnête avec elles José n'est pas un homme tendre, il ne l'a jamais vraiment été, il n'a ni compassion, ni pitié que ce soit envers les femmes ou envers les hommes, José est un humain mais un humain différent Cependant la nature l'a doté d'un visage innocent, on ne dirait pas un chef de Cartel quand on le rencontre. Et grâce à ses beaux traits de visage les filles tombent très vite sous son charme, son visage est comme un piège à femme. Quand elles y sont attirées et qu'il les captures, elles finissent la plupart du temps à le fuir. Voilà pourquoi il n'a jamais eu de relation vraiment sérieuse depuis des années. Mais ça ne le dérange pas vraiment au contraire il préfère mieux être un homme sans attache. Il ne veut vraiment pas de femme dans sa vie, sa devise c'est, son business ou rien En revanche, il a besoin des femmes il ne peut pas le nier, car il a besoin d'assouvir ses désirs sexuels, de gros désirs à souligner. José continue toujours à se battre visualisant Juliana comme le sac de boxe Juan continue de le regarder faire sans toutefois intervenir Quelques heures plus tard José est dans sa piscine en train de nager quand il aperçoit Ricardo trimballer Juliana qui cri de toutes ses forces et qui pleure comme une gamine, suppliant Ricardo Juliana : PITIÉ JE T'EN SUPPLIE NE M'AMÈNE PAS LÀ-BAS Juliana : PITIÉ RICARDO JE T'EN SUPPLIE Juliana : SNIF.....SNIF HAAAAAAAAAAA, PITIÉ José sort de la piscine, il enfile un peignoir avant de se rapprocher d'eux Juliana le voit venir et elle commence à crier encore plus fort, elle crie au point d'avoir mal à la gorge José : Tu dois économiser tes cris car j'ai réservé un petit moment entre toi et moi, un moment spécial. On va s'amuser toi et moi dans ma salle de torture crois moi Juliana : Pitié José, j'ai une fille José : On va la mettre dans un orphelinat ou je vais la tuer qu'est-ce que tu en dis ? Juliana : Pitié je t'en supplie, je n'aurais pas dû José : Tu as raison tu n'aurais pas dû José la saisie violemment par les cheveux comme si elle était un petit chien qu'on attrapait. Elle a tellement mal qu'elle n'arrive pas à pleurer Il tire encore plus sur ses cheveux, elle essaie de monter sur la pointe des pieds pour calmer la douleur, José remarque son astuce alors il sert encore plus fort Juliana : Snif.....snif snif.....snif je t'en supplie José Il la regarde attentivement, Juliana pense qu'il prend pitié et elle façonne son visage pour le rendre encore plus triste Juliana : Pitié José Cependant, celui-ci, lui donne une gifle tellement violente qu'elle perd une dent. José : Je ressemble à quelqu'un qui peut avoir pitié ? Juliana ne se remet pas encore de sa gifle, sa bouche est en sang. José la relâche, comme un chien, elle tombe violemment sur les fesses José : Lève toi ! Je ne t'ai pas demandé de tomber Juliana se relève sur le champ car elle sait qu'il ne faut pas l'irriter. Elle l'a trahi à cause de sa loyauté envers Diego. Mais à présent, elle comprend que sa vie était mieux que sa loyauté Elle pensait que Diego allait la protéger mais il n'a même pas bronché quand Ricardo est allé la chercher. Elle se dresse et se met debout devant José qui saisit sa robe et la déchire. Il la tire pour la mettre de dos et il dégrafe son soutien-gorge avant de lui enlever son string ensuite il la retourne et il lui saisit la mâchoire José : Tu vas souffrir au point de me supplier de te tuer Il la jette au sol avant de poser son regard froid sur Ricardo José : Demande à tous les gardes de venir José : Je dis bien tous et même les jardiniers et les domestiques de sexe masculin évidemment. Ricardo hoche légèrement la tête avant de s'éclipser José : Suis moi à quatre pattes Juliana obéit avec empressement espérant qu'après cela, il décide de la libérer même si elle sait que c'est peu probable lorsqu'il s'agit de José. Lorsqu'il arrive prêt de la piscine il lui saisit violemment la tête. Juliana tombe à plat ventre, immédiatement, José plonge la tête de Juliana dans la piscine sans aucun remords la regardant gigoter dans tous les sens pour essayer de respirer. José finit par la laisser respirer avant de recommencer le processus. Pendant des minutes, il ne fait que répéter le processus Ricardo : Ils sont là José. José tire les cheveux de Juliana en arrière et il la trimballe devant la foule. Ensuite, il la pousse et elle tombe aux pieds des hommes qui la regardent presque tous avec envies. Le soleil commence à se coucher et le froid commence à s'installer dans la ville, plus particulièrement dans la villa qui est truffée d'arbres, de cocotiers et de différentes verdures. José : Elle est à vous, tous ceux qui sont intéressés vous pouvez la déguster sans aucune restriction. Elle est un cadeau pour vous, prenez-la comme vous voulez, et laissez libre cours à votre imagination les gars. José s'éloigne et il part s'asseoir sous le parasol regardant avec amusement Juliana qui se fait b(a)iser par quatre hommes. Elle ne peut pas crier puisqu'il y a une grosse queue dans sa bouche Juan : Tu vas la tuer à quel moment ? José : Ils auront deux jours pour la b(a)iser. Je vais me régaler à la regarder se faire b(a)iser avant de la torturer jusqu'à la mort. ~~~~~~~~~~ Quatre jours plus tard Juan glousse et José le regarde en mangeant se demandant pourquoi glousse t-il ? José : Qu'est ce qui te fait rire ? Juan : Tu savais qu'on pouvait mettre sa virginité aux enchères sur le Darkweb ? Ricardo : Ça doit être des esclaves sexuels, des filles détenues par des proxénètes Juan : Tu es certain qu'ils feront autant de fautes d'orthographe et qu'ils demanderont un casier judiciaire, et....... Juan commence à rire encore plus fort Ricardo : Quoi ?? Juan : Pu.tain, lis ça ! Ricardo prend le téléphone, il se met à lire et il commence à sourire Ricardo : Des tests IST, un dîner aux chandelles avec comme dessert des fraises nappées de chocolat ? Et quoi ? Une chambre décorée avec des bougies et des pétales de rose rouge ? Juan : Hahahaha tu penses toujours à des proxénètes toi ? Ricardo : Ça doit être une gamine Juan : Elle aura 18 ans demain et elle donne sa virginité à qui fera la meilleure offre Ricardo : P(u)ain elle a ouvert des enchères !! Ricard : Ohhh, elle est canon la jolie blonde José : C'est une blonde, tout est clair, les blondes sont réputées pour être stupide. Ricardo : La vache, elle est canon, son corps est un rêve, je comprends pourquoi elle est à 127 mil dollars José : Canon comment ? Ricardo : Regarde par toi même José prend le téléphone et quand il voit la mystérieuse fille derrière son masque, sa bouche se remplit de salive et il b(a)nde lorsqu'il zoom sur la poitrine de la mystérieuse blonde. José : Des poitrines comme je les aime Juan : As-tu déjà dépucelé une fille ? José : Non et toi ? Juan : Non Ricardo : Moi si, c'était lorsqu'on était encore gamin, je dirais 16 ans, c'était sa première fois et moi aussi José : Alors vous vous êtes dépucelé Ricardo : Ouais José regarde à nouveau la photo, Juan peut apercevoir sur son visage son air intéressé Juan : Ça te tente ?? José : Elle est vraiment ban-dante José regarde le temps qu'il reste avant la fin des enchères José : Ohhh ça s'arrête aujourd'hui à 00h Ricardo : Il est 21h José : Je vais faire ma dernière offre à 23h59 et 23 secondes pour être sûr de l'avoir que pour moi José regarde le compte à rebours et il sourit José : Ça ne fait pas de mal une nouvelle expérience Ricardo : Tu vas lui envoyer ton casier judiciaire ? José : J'ai des centaines de faux papiers Ricardo : Et pour le test ? José : On peut tout avoir sur le Darkweb ~~~~~~~~~~ Quelques minutes plus tard José a rempli toutes les conditions que demandait Ruby. Il regarde le compte à rebours, il a déjà écrit sa proposition et il patiente comme un guépard attendant patiemment sa proie. Lorsque le temps arrive afin, il lance son offre 300.000$ Il ne sait pas pourquoi il a donné autant alors que l'offre était à 140.000 dollars Il regarde le compte à rebours prendre fin pendant que son visage s'illumine de joie pour avoir remporté les enchères. José patiente et il finit par recevoir un message sur son compte venant d'un compte anonyme comme lui. Ce compte lui donne le lieu de rencontre mais lui demande de faire d'abord un premier versement pour se rassurer que ce n'est pas de l'arnaque José lui demande si ce n'est pas elle l'arnaqueuse Ruby utilisant le faux compte lui dit qu’ils vont se rencontrer ce soir, s'il est partant dans une station de train. Ainsi ils vont échanger leur numéro de téléphone s'il le souhaite et il doit lui donner le premier versement et elle lui donnera le numéro du compte lorsqu'ils vont se rencontrer José lui demande l'adresse et elle lui remet l'adresse du lieu où ils doivent se rencontrer José sourit, il sort de sa chambre et il part toquer à la chambre de Juan qui a décidé de rester à la villa pour ce soir Juan finit par lui ouvrir José : Tu m'accompagnes, j'ai un rendez-vous avec la petite vi(e)rge Juan : Ohh okai, laisse-moi me changer José : Préviens Ricardo s'il est partant Juan : Bien José retourne s'habiller dans une tenue plus décontractée, ils comptent utiliser son jet privé car sa vierge est à une heure de route en avion de là où il se trouve. Ensuite il compte prendre des motos jusqu'à la station de train Il l'informe qu'il sera là dans 2h15 maximum Elle lui répond qu'elle sera à l'heure Du côté de Ruby, elle se change rapidement avant de passer par la fenêtre de la chambre et escalader la clôture de la maison avant de monter dans le taxi qu'elle avait commandé ~~~~~~~~~~~ Du côté de José il entre seul dans la gare pendant que les garçons décident de le suivre 5 minutes après. Il part s'asseoir et il voit déjà certaines personnes dans la gare, qui doivent sûrement voyager demain à la première heure se dit-il. Il scrute un peu les environs, pendant ce temps, Ruby regarde sa montre, elle patiente quelques minutes avant d'écrire à son mystérieux gagnant. {Trouves-moi au guichet pour prendre un ticket} José se lève, les garçons le suivent subtilement et il finit par arriver au guichet. Il voit une silhouette féminine dans un jeans serré blanc, un crop top robe pâle et une casquette blanche qui couvre son visage. Elle porte une paire de baskets rose blanche. Il sourit lorsque ses yeux atterrissent sur les cheveux de la jeune femme, c'est une blonde se dit-il intérieurement en décidant de s'approcher d'elle. José : Est ce toi ? Ruby : Qui cherchez vous ? Ruby : Moi j'attends l'ouverture du guichet pour m'acheter un ticket José : Je dois vraiment acheter un ticket ? Ruby : Ça dépend de ce que vous faites là José : Tu m'as demandé de venir ou bien me suis-je trompé de personne ? Ruby : On aurait dû avoir un code José la regarde attentivement et elle sort son téléphone pour écrire quelque chose. Il reçoit un message et il sourit José : Pétale rouge Ruby retire sa casquette, José sourit, devant le visage mignon de Ruby José : Alors on part s'asseoir ? Ruby : Ok José : Après toi Ruby se redresse avant de s'éloigner. Quant à José, il l'admire, pour être plus précis, il ne matte que le cul de Ruby en souriant. Lorsqu'ils arrivent, ils s'assoient Ruby : Met un chèque au nom de..... Ruby se raidit lorsqu'elle prend immédiatement conscience de la gaffe qu'elle allait commettre. José : Quoi ? Ruby : Euhhh j'allais faire une gaffe mais bon Ruby : Fais un virement sur un compte, j'ai le numéro. Ruby donne les informations sur son compte personnel, elle aurait fait la pire erreur de le mettre sur le compte de son père car elle veut lui donner 2/3 de la sommes globale alors qu'elle l'aura que demain après avoir perdu sa virginité José termine le transfert et il lui montre les preuves. Ruby hoche la tête et elle lui donne une feuille de papier Ruby : C'est sur ce numéro qu'on va se contacter demain. José : Bien Ruby : Bonne nuit José : Tu ne peux pas partir ainsi Ruby : Pourquoi ? José : Embrasse-moi, j'ai payé la moitié de la somme alors je dois avoir au moins quelque chose en retour. Ruby se mord la lèvre inférieure mais elle se penche et elle capture les lèvres de José aussi rapidement qu'un petit vent passager. José : C'était trop rapide Résigné, elle se penche vers José qui lui saisit la nuque avant de l'embrasser langoureusement. Il glisse sa langue dans la bouche somptueuse de Ruby qui fond dans le b(a)iser car le mystérieux homme embrasse vachement bien se dit-elle en profitant au maximum. José continue d'embrasser Ruby, et sans se gêner, il lui presse le sein droit en grognant, cependant, Ruby rompt rapidement le b(a)iser. Ruby : Non, pas maintenant mais demain Ruby : Et nous sommes dans un lieu public José la regarde et il sourit, il dit dans son fond intérieur qu'elle n'a pas idée à quel point il n'en a rien à foutre du public. José : Tes lèvres sont bonnes et sucré Complimente t-il gentiment Ruby : Je dégustais un bonbon avant ton arrivée José tâte sa langue sur son palais cherchant le goût du bonbon José : Goût pêche ? Ruby hoche la tête en rougissant José : À demain quelle heure ? Ruby : Tout dépend de toi maintenant, cependant pas ce soir José : 15h ça te dit ? Ruby : Euhhhh bien José : Tu veux que je t'accompagne ? Ruby : Non merci Ruby se précipite après ses mots pour sortir de la gare. Elle a demandé au conducteur de Taxi de l'attendre et elle a doublé son prix sans omettre le prix de la course. Elle finit par descendre à un carrefour avant de se précipiter dans la parcelle des voisins jusqu'à sa maison espérant ne pas se faire repérer.
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